Agnès, la copine de ma mère - Histoires de Sexe

Agnès, la copine de ma mère

... sourîmes. Elle était habillée comme le matin, quoique peut-être un peu plus maquillée. Elle démarra sans qu’un mot ne soit échangé. Bientôt nous arrivâmes dans une forêt. Elle prit un chemin sur la droite et s’arrêta quelques centaines de mètres plus loin. Après avoir coupé le contact, elle me dit :

— Viens, nous serons mieux dehors.

Elle sortit de la voiture et alla s’appuyer dos à un arbre.

— Alors comme ça, tu me désires ?
— Oui, répondis-je.
— Et que désires-tu ? Me voir m’abandonner à toi ?

À mesure qu’elle parlait, je sentais mon désir monter et mon sexe prendre une forte consistance.

— Regarde. Regarde ce qu’est une femme. Une femme qui s’abandonne et se soumet à un homme.

Elle remontait doucement sa jupe moulante, laissant apparaître le bord de ses bas, puis la dentelle d’un porte-jarretelles noir avant de découvrir un petit string. Elle se tourna, les mains sur l’arbre, se cambra et écarta légèrement les jambes.

— Je suis à toi. J’ai très envie que tu profites de moi, que tu me sautes, là, comme un animal.

Elle baissa la tête, geste plein de soumission. Moi, je m’approchai d’elle. Je fis glisser son string à ses pieds. De mes doigts, j’explorai sa fente et sa raie. La caressant doucement, j’étalai son jus tout le long de son sillon, jusqu’à son anus que je malaxai doucement. Elle semblait apprécier cette caresse et poussait de légers soupirs. Je m’agenouillai derrière elle, et alors que mes mains parcouraient ses cuisses puis ses ...

... fesses, je posai ma langue sur sa fente humide. C’était la première fois que je goûtais une femme, que je me délectais de ce nectar…

— Oui… murmura-t-elle. Passe ta langue sur toute ma fente. Oui… pose-la sur mon bouton…

Après quelques minutes de ce traitement, je me relevai et, ayant ouvert mon pantalon, je présentai mon gland à l’entrée de son sexe, la tenant par les hanches. C’est elle qui s’empala sur moi, poussant un grognement de contentement.

— Humm… c’est bon une queue de jeune mec. Humm… oui, prends-moi bien au fond, doucement, doucement…

Je suivais ses demandes à la lettre, me retirant presque entièrement avant de la pénétrer à nouveau au plus loin. Je sentais le plaisir monter progressivement le long de ma colonne.

— Ah, tu aimes te faire sauter par un jeune… En plus, le fils de ta copine ; tu devrais avoir honte ! Tu es une vraie salope…
— Tu me baises et j’aime ça. Oh oui, je suis une vieille salope qui aime le cul… Vas-y. Prends-moi…

C’est alors que je me retirai d’elle pour la pénétrer un peu plus haut. Elle ne résista même pas. Tout juste une petite protestation :

— Oh mon Dieu, tu ne vas pas m’enculer… Oh mon Dieu… ta queue est si grosse…
— Tu sens qu’elle te pénètre ? Oui, je t’encule et tu peux appeler ton dieu, rien ne m’arrêtera.

Mon plaisir montait de plus en plus en même temps que le sien. Heureusement que je m’étais branlé cet après-midi, sinon j’aurais craqué depuis longtemps. Maintenant, je la tenais fermement et la besognais ...