LES ROUTIERS SONT SYMPAS (8)
Datte: 08/11/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Petikokin, Source: Hds
... contre son utérus. Mes couilles sont comprimées sur son périnée. Ses râles de plaisir deviennent un long rugissement... De mon côté, j’ai le cœur qui s'emballe. Je ne respire plu, j'halène, je suffoque. Je vide toute ma semence en longues giclées en poussant des hans entre chacune.
La tension accumulée en ces quelques secondes se dissipe lentement.
Frédérike se laisse aller de tout son long sur mon corps. Sa poitrine contre la mienne. Ses mamelons sont encore durs, ses seins toujours fermes. Mon chibre, toujours enfoncé dans sa chatte, se ramollit doucement.
Cette position facilite l’échange de tendres baisers langoureux, voluptueux.
« Tu as aimé ?
Oh - oui – Beaucoup... Jamais je n’aurai pensé avoir autant de plaisir... Tant de bonheur...
C’est dommage... Vous, en Allemagne, vous ne savez pas faire l’amour...
C’est pour ça, que moi, j’aime la France et tout ce qui est français...
Frédérike, tu sais que notre rencontre sera sans suite...
Je sais... C’est uniquement pour le plaisir ... Mais ce soir j’aime UN ...
... Français...»
Sur ces dernières paroles, nous nous endormons... Il est presque minuit...
Épilogue : Toujours nus, nous nous sommes réveillés vers dix heures. Ce jour étant toujours férié, nous avons le temps... En attendant midi, nous avons discuté sur différents sujets concernant la sexualité, comment en obtenir le maximum de plaisir.
Après avoir pris une douche, après le déjeuner, après une sieste d’environ une paire d’heures, nous avons mis en pratique quelques positions, quelques gestes, plus érotiques les uns que les autres. Je lui ai appris à jouir dans la position dite « en levrette ». Elle a particulièrement apprécié...
Nous avons jouis chacun notre tour ou ensemble.
En fin de journée, Frédérike a revêtus ses habits carnavalesques. Elle est partie après un dernier baiser profondément sensuel, avec quelques larmes dans les yeux et plein de rêves dans la tête...
De retour à l’entreprise, quand on me demandait, d’un ton ironique, si j’avais passé un bon moment pendant ce voyage, je répondais : « Bof, rien de bien folichon... »
Petikokin