Baise-moi Hector (1)
Datte: 07/11/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: azertycc, Source: Xstory
... elle se réveille un peu dépaysée, se demandant où elle se trouvait. Elle se rappela de la scène de la nuit dernière et se rendit compte qu’elle n’avait plus ses habits.
— M’a-t-il violée ? Non j’ai encore mes sous-vêtements.
Au même moment, Hector entre dans la chambre avec son plateau-repas.
— Salut ! Tiens, mange.
— Bonjour !
Elle hésita au début, mais avec le regard d’ange d’Hector, elle commença à manger comme une vraie affamée.
— Wow, t’avais vraiment faim.
Elle lui répond d’un signe de la tête, la bouche trop pleine.
— Au fait, moi, je m’appelle Hector et toi ?
— Julienne.
Il prend un raisin qu’il avale. Elle le trouve trop beau, mais avec un air un peu arrogant comme tous les riches du coin.
— Maintenant, tu peux me dire ce qui t’est arrivé au point de vouloir te suicider, reprit-il.
L’expression du visage de Julienne devint triste, les larmes aux yeux. Il s’approcha plus d’elle et lui mit la main sur l’épaule. Elle sursauta à ce contact. Elle le regarda, il souriait. Julienne décide alors de tout lui raconter.
— Au fait, je suis une orpheline qui a grandi dans un orphelinat, à 15 ans, je me suis fait adopter par un couple. La femme n’était jamais à la maison, je restais donc seule avec l‘homme qui était la moitié du temps saoul. Une nuit, je finissais le ménage dans la cuisine quand j’ai senti l’odeur de l’alcool derrière moi. Il s’est approché de moi et a commencé à caresser mes fesses, souleva ma jupe et mit sa main dans ...
... mon caleçon. J’ai retiré sa main et me suis éloignée de lui en demandant de me laisser tranquille. Mais entre un homme soul et un homme sourd, il n’y a pas de différence. Il réussit à me coincer dans un coin et se mit à m’étrangler tout en enlevant maladroitement sa ceinture. Avec le peu de force qui me restait, je lui mis un coup de pied dans les boules. Il me lâcha sur le coup et je pus m’enfuir. J’ai fait pratiquement un an dans la rue quand j’ai été recueillie par un centre d’assistance sociale. J’y suis restée jusqu’à mes 18 ans. A ce moment, je me mis à chercher un emploi. Je faisais de petits boulots par-ci par-là parce que je n’arrivais pas à garder un emploi plus de 3 mois sans me faire harceler. A 23 ans, je voyais bien que j’étais une charge pour le centre qui ne s’occupe que des mineurs. J’ai décidé un soir de ne plus rentrer au centre en prenant soin de remercier ceux qui se sont occupés de moi à travers une lettre. Hier, totalement épuisée et déprimée, j’avais décidé d’en finir et c’est là que je vous ai rencontré. Je comprendrai si vous me chassiez de chez vous.
Julienne pleurait tout au long de son récit. Quand elle eut terminé, Hector eut une idée.
— Je ne vais pas te faire partir de chez moi, et je suis vraiment navré pour tout ce qui t’arrive, mais je peux t’aider.
— Comment ?
— En te trouvant un emploi. Tu sais, j’ai besoin d’une employée personnelle disponible 24h sur 24 et 7 jours sur 7, surtout les week-ends.
— Et ce travail consiste en ...