1. Des vacances très chaudes. Chloé 4. Le hasard fait bien les choses.


    Datte: 07/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    Des vacances très chaudes. Chloé 4. Le hasard fait bien les choses.
    
    Je suis à l’entreprise de mon oncle, le nez plongé dans ses comptes.
    
    On frappe à la porte, vu l’heure, ça doit sûrement être le nouvel employé qui vient se présenter.
    
    -Entrez !
    
    Je ne lève même pas la tête. Il faut que je finisse ce que je fais sinon je vais perdre le fil et devoir tout reprendre.
    
    -Asseyez-vous, je suis à vous dans un instant !
    
    Je l’entends toussoter, se racler la gorge, je relève la tête et découvre en face de moi Maxime…
    
    -Tiens-tiens, comme on se retrouve………..
    
    -Euhhh, Mademoiselle…. Bon, je crois que c’est fichu pour moi… Je m’excuse pour le train… Je vais vous laisser…
    
    -Ehhhh, pas si vite jeune homme… Vous ne croyez pas vous en tirer à si bon compte… Mon oncle m’a dit de vous faire passer un entretien d’embauche. Donc je vais m’y employer, et la 1ère chose dans ce métier et une bonne condition physique. Suivez-moi dans la pièce d’à-côté pour une visite médicale d’embauche !
    
    Il ne dit plus un mot, c’est moi qui ai son job entre les mains et d’après ses confidences dans le train, c’est pour lui son dernier espoir.
    
    -Tu t’es sauvé comme un sauvage l’autre jour dans le train après m’avoir mis le feu au cul. A poil maintenant mon gars.
    
    Il s’exécute ne sachant si c’est du lard ou du cochon.
    
    Je redécouvre le bel outil qui m’a fait jouir l’autre nuit et m’en saisis aussitôt en le narguant:
    
    - Alors Maxime, cette fois c’est moi qui tiens le manche…
    
    Paul ...
    ... est monté normalement avec une bite un peu plus longue que la moyenne, mais la queue de Maxime est la plus impressionnante de ma vie de femme. Elle est encore plus longue mais surtout très épaisse, il voit mon regard impressionné et rigole en s’exclamant:
    
    - Ahahah… Elle te plait toujours ma grosse bite et on dirait que t’aimes ça…
    
    Dans le train je n’avais pas pu la voir dégagée de toute barrière vestimentaire dans la pénombre du wagon, quelle bite quand même !
    
    Je le branle lascivement comme une pute désabusée, il lui faut un certain temps pour que sa libido prenne le pas sur l’appréhension de perdre son travail avant même d’avoir commencé.
    
    Comme dans le train, je redécouvre avec gourmandise cette verge massive sans être disproportionnée. Elle bat à plate couture celle de ce con d’Adrien et la bite de Paul beaucoup plus fine.
    
    Ma main emprisonne sa verge que je m’applique à bien astiquer.
    
    Son gland glisse entre mes doigts et j’amplifie mes mouvements de bas en haut avant de porter sa queue à mes lèvres
    
    Son visage se crispe, son souffle est court. Son corps frissonne sous mes caresses rythmées sur son sexe. Il éjacule enfin dans de longues secousses avec le petit sourire du devoir accompli.
    
    Mes doigts sont englués du sperme qui fuse et retombe, je veux retirer ma main mais il m’oblige à continuer, arrivant à éjaculer encore.
    
    Quand enfin il relâche ma main, je porte mes doigts poisseux de sa semence à mes lèvres et me délecte de son nectar, le provoquant ...
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