Quel Rêve !
Datte: 07/11/2018,
Catégories:
fh,
Oral
douche,
Auteur: Magwah, Source: Revebebe
... partir. Voilà une chance rare d’être près d’elle. Si elle veut que je parte, elle est assez maître d’elle-même pour me le demander clairement. En l’espace d’une seconde, ma tête se remplit de questions, de réponses, d’hypothèses, de doutes, etc. Puis, je sens en moi une poussée d’adrénaline et sans que je le sache une phrase sort de mes lèvres. Aimerais-tu que je te donne un petit massage avant de partir ?
Son visage change immédiatement. Un sourire comme j’ai rarement vu sur son visage depuis que je la connais illumine son visage. Elle n’est plus la même que tantôt. Je la sens plus confiante par rapport à moi. Autant je la sentais gênée à mon arrivée, autant je la sens maintenant détendue, calme, sereine, sûre d’elle-même. Elle me dit :
— Tout de suite comme ça ?
Je lui réponds :
— Pourquoi pas, cela te fera du bien et t’aidera à dormir. Restes assise sur ta chaise. Je vais te masser la nuque.
Je m’approche d’elle d’un pas titubant. Où est passée ma confiance ? Je tremble de peur et d’anticipation. D’un pas maladroit je me place derrière elle, je tasse un peu ses longs cheveux pour atteindre sa nuque. Ils sont encore un peu humides. Quelle douceur ! Je place une main sur sa nuque, puis l’autre. D’un geste de rotation mes mains caressent cette peau dont j’ai si souvent rêvé. Après quelques secondes elle lâche soudainement un soupir et laisse échapper un hummm de satisfaction qui me surprend. J’étais perdu dans mes rêves et ces quelques mots inattendus me ...
... surprennent. Je me sens comme un gamin qui vient de se faire prendre après avoir fait un mauvais coup. (à suivre)
J’étais là à te caresser la nuque et ton soupir m’a fait revenir de mon rêve. Dans ce rêve que je venais de faire alors que je te caresse la nuque, je te demande :
— Veux-tu que je te masse le dos, il me semble que cela te ferait du bien et te permettrait de passer une bien meilleur nuit après cette longue journée dans la forêt à ramasser des herbes et des bouts de branches.
Pour te rassurer (et me rassurer du même coup..) je te dis :
— Garde ton peignoir ce sera plus décent ! Viens, allonges toi sur ton lit.
Nous prenons en même temps une gorgée de notre breuvage et je te suis au lit. Tu t’allonges sur le ventre. La vue de tes mollets fait monter en moi une pression énorme, une grosse vague de chaleur. Je me place sur le bord du lit et je commence à te caresser le dos de mes mains maladroites. Étant placé sur le bord du lit il ne m’est pas facile de te faire un massage efficace. Après quelques minutes qui me semblent une éternité, je prends mon courage à deux mains…et te demande si je peux monter dans le lit car il me serait plus facile de te masser. Tu réponds par un oui timide qui suscite en moi des questions telles que, est-elle gênée, veut-elle que j’arrête, est-elle embarrassée ?
Me voilà sur le lit à califourchon sur tes fesses.
— Suis-je trop lourd te dis-je.
— Non ça va.
Je continue donc mes mouvements de rotation sur ton dos. Mes mains ...