1. Six mois en formation


    Datte: 06/11/2018, Catégories: f, h, fh, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fsodo, init, Auteur: Cbl, Source: Revebebe

    Le péage passé, je règle immédiatement le régulateur de vitesse sur 130km/h. L’Audi accélère franchement jusqu’à la vitesse sélectionnée dans un silence remarquable. Je viens de quitter ma vieille 306 qui entamait son troisième tour de compteur. L’A4 break qui m’a été attribuée sentait le cuir neuf et n’a pas grand-chose de commun avec mon ancienne monture. Je m’apprête à passer six mois à trois cent kilomètres de chez moi pour me former à mes nouvelles fonctions. Pour éviter de devoir trouver un logement, j’ai accepté l’invitation d’une tante de ma femme qui habite à quelques kilomètres de mon nouveau bureau. Je la connais un peu. Nous avions séjourné à deux ou trois reprises chez elle, lors de week-ends prolongés dans la Manche. Elle est restée célibataire par goût de la liberté. Elle n’a pas d’enfant et, à l’âge de la retraite, a trouvé un complément de revenus en louant des chambres à des étudiants de l’école hôtelière voisine.
    
    Après quelques kilomètres de route départementale, je stoppe ma voiture dans un bourg pour acheter un bouquet de fleurs pour mon hôtesse. Une jolie femme croise mon regard et m’adresse un beau sourire qui me réchauffe le cœur. C’est fou comme ma panoplie de jeune cadre dynamique fait de l’effet ! J’aurais croisé cette même femme en sortant de ma 306, habillé d’un jean et d’un pull, elle ne m’aurait probablement pas remarqué.
    
    J’arrive enfin dans la rue étroite où habite Annie. Son ignoble cabot répond dans un vacarme au coup de sonnette. ...
    ... J’attends un moment et m’apprête à presser à nouveau le bouton quand la porte de l’épaisse muraille s’ouvre. Une jolie blonde aux cheveux mi-longs me fait face. Elle me sourit :
    
    — Vous êtes Laurent ?
    — Euh, oui…
    — Entrez, je vous en prie.
    
    Je lui emboîte le pas dans l’étroit couloir. Ses cheveux sautillent sur ses épaules fines. Elle porte un haut rose et un pantalon gris clair qui dessine à merveille ses petites fesses. On arrive dans le salon où Annie est en pleine conversation téléphonique. Elle me fait un signe de la main et m’invite à m’asseoir. La jolie blonde revient :
    
    — Voulez-vous du café ?
    
    J’accepte avec plaisir. La décoration est toujours aussi démodée, mais les rideaux épais s’accordent parfaitement avec le papier peint à gros médaillons. Annie continue sa conversation et me fait des signes pour m’expliquer que la communication dure depuis longtemps et qu’elle aimerait bien abréger.
    
    Mon café arrive sur un plateau, accompagné de quelques biscuits secs.
    
    — Je m’appelle Julie. Je suis à l’école hôtelière, j’habite ici depuis le mois de septembre.
    
    On entame une discussion pendant qu’Annie essaie en vain de se débarrasser de son téléphone. Je regarde Julie me parler de choses et d’autres. Lorsqu’elle sourit, ses grands yeux bleus s’éclairent et son petit nez se retrousse. Elle est vraiment à croquer. Annie nous rejoint enfin, ravie d’avoir réussi à interrompre la conversation. C’était une ex-collègue dépressive qui l’appelle sans cesse.
    
    — Vous avez ...
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