j'hallucine à la vue du membre de mon fils (1) - Histoires de Sexe

j'hallucine à la vue du membre de mon fils (1)

... monstre !

— Suce-le, je t’en prie, vas-y maman suce-le !

Je souffle fortement, me penche en fermant les yeux, j’ouvre la bouche et tente de faire entrer l’engin.

Peine perdue, il est bien trop gros pour ma bouche, je ne peux que le lécher.

Ma langue fait de nombreuses fois le tour du cèpe géant, joue avec le frein et tente de forcer le méat qui suinte.

Malgré ma maladresse, mon fils geint de plaisir.

Il me caresse les cheveux, en murmurant.

— Maman, je veux venir en toi, j’en peux plus !

Il me repousse doucement, fait tomber mon peignoir, à la vue de mon corps nu, il dit d’une voix douce.

— Maman, comme tu es belle, tu as un corps magnifique !

Être nue devant mon fils et prête à faire des folies me culpabilise, je frissonne de honte

— Maman, allonge-toi, j’vais m’occuper de toi !

Un peu gênée, je prends la position demandée.

Il s’agenouille devant mes cuisses ouvertes, écarte les grandes lèvres de ma vulve humide et sort la perle de son écrin, et la frotte délicatement, je geins de bonheur, il se penche, l’aspire, je sursaute sous la succion brutale.

Il gobe le clito, le tète avidement.

Je suis noyée, sa langue maintenant pénètre mon antre, et me fait chavirer.

Il fouille la gaine brûlante en aspirant la cyprine.

Je grogne et râle comme un animal en rut, je suis au bord de l’explosion, je me cabre, pousse un cri et jouis abondamment, je suis m’arc-boutée haletante, tendue a l’extrême, il me fouille encore et encore, je ...

... jouis à nouveau, mes râles résonnent dans pièce, j’en peux plus.

— Viens en moi mon chéri, je te veux en moi !

Il se redresse et pose son monstre contre ma vulve détrempée, il la fait voyager plusieurs fois sur mes grandes lèvres gonflées puis me saisit par les hanches et force.

Je pousse un cri que j’étouffe avec ma main lorsque le membre hors norme commence à entrer en moi.

Je serre les dents et grimace de douleur, le monstre s’enfonce petit à petit en moi.

C’est seulement une fois que l’engin est bien en place que mon fils cesse tous mouvements.

Peu de temps après, la douleur s’estompe et fait place au plaisir.

Après quelques va-et-vient lents, le rythme s’accélère, ma chatte est dilatée au maximum, la gaine de chair épouse bien la forme du monstre qui coulisse en moi.

Je geins de plus en plus fort, mon fils grogne comme un animal, il souffle et me pilonne comme un soudard.

Je m’accroche à lui et pousse un cri terrible de jouissance.

Il donne de violents coups de reins comme pour me traverser, je pousse des cris de bête blessée à chaque enfoncement du pieu en moi.

Mon fils se raidit, grogne, se bloque et me remplit de sa semence épaisse.

Il reprend ses assauts et m’amène à une nouvelle jouissance.

Il se retire de moi, il me sourit et dit :

— Maman, comme t’es bonne, je vais te prendre encore, viens t’empaler sur ma queue !

Je saisis le monstre et le dirige vers ma chatte béante, je m’empale jusqu’à la garde en me laissant tomber de ...