Regardez, Madame
Datte: 05/11/2018,
Catégories:
Humour
Inceste / Tabou
Anal
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
Vous nous avez invités, Madame, votre fille Mélanie et moi, à prendre le thé dans le salon de votre appartement.
Fort bien. Nous avons accepté, et sommes venus à l'heure dite en apportant des fleurs et des douceurs sucrées. Le vent fou du dimanche après-midi printanier achève de bouleverser les cœurs de tous les amants du monde.
Vous nous avez invités, Madame. Libre à vous de faire connaissance avec votre gendre.
Je m'assois dans un fauteuil de velours aux larges accoudoirs. Vous prenez place sur le canapé. Nous nous faisons face. Dans un grand miroir situé au-dessus de votre tête, nous pouvons nous mirer de la tête aux pieds.
Mélanie, belle étudiante mince et brune, a dix-huit ans. J'en ai quarante-huit. Qu'importe ? Voyez-vous, elle m'aime d'un amour total, de sorte qu'elle est prête à tout accepter. Pour ma part, je la désire seulement. Mais d'un désir immense. Et nous avons le goût de la provocation. Nous allons vous choquer. Complices, nous sommes venus avec cette intention.
Depuis combien de temps n'avez-vous pas vu votre fille entièrement nue ? Certes, elle est très pudique, et à la plage, jamais elle n'a porté de maillot de bain trop moulant. Cependant, voyez, elle s'assied sur mes jambes, vêtue seulement d'un corsage et d'une jupe. Elle pose ses pieds charmants sur mes genoux, alors que les siens sont repliés. De votre place, vous pouvez déjà voir sa culotte.
La conversation commence. Elle est insipide, comme souvent entre gendre et belle-mère. ...
... Oui, il faut beau. Nous n'avons rien à partager. Sauf votre fille, Madame. Votre fille chérie, la chair de votre chair. Elle m'adore. Elle est prête à tout accepter de moi. Heureusement, car j'ai l'intention de me comporter d'une manière obscène et de l'impliquer dans mes obscénités d'une manière extrême.
Entre deux gorgées de votre thé horrible pour lequel je me sens obligé d'affirmer qu'il est bon, mes mains commencent à se faire baladeuses sous le corsage de Mélanie. Déjà les deux boutons du haut sont défaits, vous laissant entrevoir la partie supérieure sa jolie poitrine. Mélanie ne proteste pas. Oh non ! Elle m'aime trop. Car je suis un satyre. Ses parfums sont sur moi et les miens sur elle. Aucune raison au monde ne pourrait nous séparer.
Votre fille, comme toutes les filles, possède des seins merveilleux sous le toucher de mes doigts avides. Ces doux oiseaux sont libres, car non, elle ne porte pas se soutien-gorge. Ses tétons se raidissent sous la caresse. Les boutons du corsage sautent un à un. La voici torse nu, notre sirène ! Elle ronronne comme une chatte et bascule sa tête en arrière, posée sur mon épaule.
J'aperçois déjà vos yeux ronds que provoque notre indécence. Mais vous n'avez encore rien vu.
Ma main se fraie un passage sous la jupe. Que les cuisses sont blanches ! Vous ne trouvez pas ? Mélanie retire elle-même ses chaussettes, car elle a trop chaud. Ses petits pieds charmants réclament le massage. Pourquoi pas ? Prenons donc le temps de nous ...