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Un, deux, trois !
Datte: 05/11/2018, Catégories: fh, cocus, copains, vacances, hotel, dispute, Oral 69, pénétratio, fsodo, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe
... seconde je ne les laisse seuls. Pire, je presse le départ. De toute façon, il n’y a pas d’eau chaude. Et voilà que ma femme me demande, la bouche en cœur, le cul encore souillé par un foutre qu’elle pense de son amant : — Tu as mal dormi ? Pourtant l’hôtel était particulièrement silencieux. Alors la colère me prend. Je stoppe la voiture sur le bas-côté de la route. — Un problème ? me demande le traître qui est assis derrière sa maîtresse. Ma seule réponse, après avoir défait ma ceinture et me tourner vers eux, est : — Depuis quand couchez-vous ensemble ? C’est comme au cinéma. Les visages montrent d’abord la surprise, puis une seconde d’angoisse avant de s’afficher indignés. — Mais de quoi tu parles ? Tu es fou ! Pascal, voyons… C’est la putain qui s’y colle. Arnaud ne dit rien ; il fait juste un geste d’incompréhension. — Pas la peine de mentir. Je sais tout. Cette nuit j’en ai eu la preuve. — Pascal, je te jure, sur la tête de ma mère, que je n’ai pas touché Séverine. Tu as dû rêver, c’est évident. « Le traître… Évidemment qu’il ne l’a pas touchée, et il peut jurer de bonne foi. Mais les autres jours ? » Je surprends Séverine qui regarde son amant avec étonnement. Elle sait l’attachement d’Arnaud pour sa mère, et son parjure doit lui paraître surprenant. — Il ne ment pas, dis-je. — Mais évidemment qu’il ne ment pas. Je ne couche pas avec Arnaud, voyons. — C’est avec moi que tu as baisé. — Mais de quoi tu parles ? — Si je te dis 69, ...
... cavalière et tout le reste… Le visage de ma femme se fige. Elle commence à comprendre son erreur, mais un dernier sursaut lui fait dire : — Tu mens : ce n’était pas toi. Son parfum… Elle vient d’avouer sans s’en rendre compte. — Son dentifrice ! Hier, j’ai utilisé son dentifrice. Un long silence. — Son dentifrice ? — Oui. Et Arnaud s’est couché avant moi, à la place où je me mets d’habitude. Je peux voir sur son visage l’incrédulité, puis la stupeur, suivie par une angoisse palpable. — Euh… Mais… Que c’est triste, une femme qui, quel que soit le côté où elle se tourne, ne rencontre que sa propre turpitude. — Donc je répète ma question : depuis quand couchez-vous ensemble ? — Depuis le 10 décembre, me répond Arnaud. — Cela fait donc deux mois. Pas avant ? Pas avant de venir chez moi ? — Non, je te le jure ! affirme l’amant avec force. — C’est vrai, confirme mon épouse d’une voix défaite et les yeux mouillés. — Il vous aura fallu à peine un mois pour me cocufier. — Pascal, je vais t’expliquer. Ce n’est pas ce que tu crois. Ce n’était pas prémédité. — Ah bon ? Me voici consolé. Alors si ce n’était pas prémédité, cela s’est passé comment ? — Pascal, s’il te plaît… Je reconnais ma faute, mais ne me demande pas comment. Séverine pleurniche. — Je ne partirai pas d’ici sans savoir. — Laisse, Séverine, je vais lui dire, annonce Arnaud qui me connaît assez pour savoir que je ne mens pas. Séverine avait oublié que j’occupais la salle de bain ...