1. Un, deux, trois !


    Datte: 05/11/2018, Catégories: fh, cocus, copains, vacances, hotel, dispute, Oral 69, pénétratio, fsodo, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... cachés sous ses paupières.
    
    Arnaud aussi vient. J’imagine son foutre jaillir pour inonder la grotte en jets puissants et répétés. Que c’est beau, un couple qui jouit ! J’avais oublié combien j’aimais voir Suzanne et mon ami se transcender par la jouissance. Séverine est notre Suzanne d’aujourd’hui.
    
    Quelques secondes avant qu’Arnaud ne se retire.
    
    À l’époque, la fente de la fermière laissait suinter une partie de la liqueur. Il fait trop sombre pour regarder, et ce serait indécent. Pourtant à l’époque j’aimais cette vision. Je l’aimais, car je savais que mon tour viendrait.
    
    Une ombre s’éloigne. La porte de la salle de bain laisse un instant passer la lumière. Une lumière qui passe entre les cuisses repliées de Séverine, encore ouvertes pour laisser la place à son amant. La vision est fugitive, mais si parlante… Je ne peux retenir ma main de se glisser sur le ventre, le pubis, pour aller y découvrir ce qu’Arnaud a déposé. Le clitoris est encore érigé, la fente gluante. Alors je décide de prendre ma part. Je bouge, trouve le chemin des cuisses encore ouvertes, y guide ma queue pour pointer au centre du monde.
    
    — Pascal… qu’est-ce que tu fais ? Je suis toute…
    
    « Oui, chérie, je sais que tu es grasse, souillée par le sperme de ton amant, mais dans mes souvenirs c’était si… » pensé-je.
    
    — Ahhhhh…
    
    Je suis entré d’un coup de reins. Elle est ouverte, gluante, dégoulinante, mais c’est si bon ! Suzanne nous demandait de la prendre ainsi, jamais satisfaite, se faisant ...
    ... mettre par l’un, puis l’autre le temps que nos forces reviennent.« Ah, Suzanne… »
    
    C’est Suzanne que je bourre maintenant. Le visage de celle que je baise est rendu assez informe par la pénombre pour l’habiller des traits de cette initiatrice. Elle nous a tout montré, tout appris. Je souhaite à chaque ado de trouver sur son chemin une femme comme elle : le net lui paraîtrait bien triste. Il saurait comment tenir longtemps, apporter du plaisir à sa maîtresse, connaître son propre corps, explorer des plaisirs particuliers.
    
    — Tourne-toi ! j’ordonne à ma femme.
    
    La levrette, position à la fois dominante pour l’homme, mais qui apporte des sensations particulières à la femme. J’agrippe les hanches généreuses de Séverine et je la possède avec une envie que j’avais oubliée. Même Arnaud, depuis la salle de bain, doit entendre le claquement de nos chairs ; et je ne parle pas des gémissements de celle que je laboure. Le floc-floc si obscène de ma bite qui brasse le foutre est, lui, plus intime. Intime et abject. Quel homme aimerait nager dans le foutre d’un amant ? Et pourtant…
    
    — C’est bon, hein ? je demande dans une expiration à la femelle que je baise.
    
    Cela aussi, Suzanne nous l’a appris. Parler, questionner, exprimer, même avec des mots crus, participe au plaisir. Séverine n’est donc pas étonnée de ma question.
    
    — Oui, oui. C’est bon…
    — Tu as aimé avec Arnaud ?
    
    À peine une hésitation :
    
    — Oui.
    — Tu étais excitée de me savoir à côté ?
    — Pas au début… ohhh… Mais ...