1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°940)


    Datte: 09/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    soumises prêtées au Château – (suite de l'épisode précédent N°939) -
    
    Mélanie me sentant me contracter suivit mon regard . Ils étaient là, tous les deux chaussés de bottes cavalières . Ils nous regardaient, la cravache dans les mains fouettant rageusement le cuir de leurs bottes .
    
    Nous étions pétrifiées . Qui était donc cet étrange personnage aux côtés de Monsieur le Marquis ?
    
    N'osant plus bouger nous restâmes blotties dans les bras l'une de l’autre, nous attendant au pire, nous donnant de la force et du courage l'une l'autre. Je sentais Mélanie trembler contre moi et je faisais de même . J'avais encore le souffle court de ma récente jouissance !
    
    - Regardez moi ces chiennes en chaleur qui se vautrent dans le stupre, Monsieur le Comte de St Vadier, regardez moi ses femelles indécentes . Je dois les rendre à leur Maîtres, dignes du nom de "soumises" qu'elle portent ! Y parviendrais-je en si peu de temps ? Se lamentait le Marquis . Il suffit qu'on les laisse un seul instant et voila qu'elles en profitent pour se donner du plaisir sans y avoir été autorisées, mais que vais-je bien pouvoir faire de vous ? Auriez-vous des idées mon cher voisin ? demanda le Marquis en se retournant vers l'inconnu.
    
    Je le regardais aussi . Grand, il me paraissait immense de la position où je me trouvais . Le regard froid, il avait de petits yeux inquisiteurs, une bouche gourmande, la main qui tenait la cravache était grande, nerveuse presque impatiente d'entrer en action.
    
    Nos regards ...
    ... se croisèrent . Je baissais les yeux immédiatement tant l'intensité des siens me fit peur, d'une peur viscérale . On y voyait toute la perversité du mâle habitué à sévir, contraindre, réprimer, et être obéit sur le champ.
    
    Ils se regardèrent, complices joyeux de la bonne occasion que nous leur offrions, comme s'il avaient eu besoin d'un quelconque alibis pour assouvir leurs perverses fantaisies . Ils se délectaient par avance de la punition qu'ils allaient nous infliger . Mais le Marquis tenait, dès cet instant là, profiter de la situation .
    
    - venez, cher Conte nous n'allons pas gâcher ce merveilleux spectacle qu'elles nous ont offert, il faut profiter au contraire de chaque occasion dès que celle ci se présente ! Puisqu'elles sont prête à recevoir, donnons leur de remplir ce vide qu'elles semblent avoir .
    
    Comment ça le "merveilleux spectacle" ! Ils nous avaient donc espionner . Depuis quand étaient ils présents ? Qu'avaient ils vu de nos ébats ? Je n’eus guère le temps de me poser plus de questions. Ils franchirent la distance qui nous séparait d'eux en moins de temps qu'il en faut pour le dire .n Nous nous serrâmes encore plus, essayant de nous conforter et de puiser dans l'autre la force qui nous manquait pour la suite de ce qui allait, inévitablement, arriver. Nous essayâmes, en reculant, de retarder l'ultime instant . Le Marquis arrivait d'un pas décidé vers nous.
    
    Il saisit la main de Mélanie . Il rit à la vue des marques que mes ongles avaient laissé sur ses ...
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