J'ai couché avec ma meilleure amie ! (1)
Datte: 05/11/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: walter88, Source: Xstory
... nous sommes retrouvés tous les deux dans une des tentes, bien bourrés, à rigoler comme des idiots. Elle cherchait partout son téléphone et m’avait demandé de l’aider. Ce soir-là, elle portait un blouson léger, ouvert sur un débardeur noir sexy, une jupe en jean très courte et des chaussures en cuir à talons. Les ongles de ses pieds étaient peints en rouge, ses cheveux courts teintés en noir. Dans cette tenue, elle ne me laissait pas indifférent et pendant les concerts, j’ai aussi surpris plus d’un garçon à la regarder du coin de l’œil. Certains d’entre eux semblaient très jeunes, ce qui était flatteur pour elle, même si elle ne s’était visiblement pas rendue qu’on la reluquait des pieds à la tête, en s’attardant longtemps sur ses fesses et ses cuisses.
Dans la tente, elle m’excitait encore plus. Occupée à fouiller, elle se retrouvait tantôt assise en tailleur, les cuisses grandes écartées, tantôt à quatre pattes, ses petites fesses de rêve bien cambrées. Plutôt qu’à chercher, j’avais passé le plus clair de mon temps à regarder ses jolies jambes et sa belle petite culotte noire. De face, le spectacle n’était pas non plus désagréable : son débardeur léger ne cachait en effet pas grand-chose de ses petites mamelles ...
Après avoir retrouvé son portable, nous avons commencé à nous dire des choses gentilles et à nous câliner. J’en ai profité pour caresser ses bras et son dos, très tendrement, parce que je sais qu’elle adore ça. A un moment elle m’a envoyé une rafale de ...
... petits bisous, sur la joue, tout près des lèvres. J’ai fini par l’embrasser sur la bouche. Un bisou très tendre, sans la langue, puis un autre, plus prolongé. Pas de réaction ... Alors j’ai continué à l’embrasser, partout sur le visage, et plus doucement. Elle restait là, la bouche légèrement entrouverte, les yeux fermés. Je l’ai à nouveau embrassée sur les lèvres.
— hé bien, a-t-elle sobrement commenté.
J’ai cru qu’elle allait se mettre à rire pour ne pas me laisser franchir cette limite qu’il y avait toujours eu entre nous, mais je l’ai sentie s’abandonner et je l’ai à nouveau embrassée, plus longuement, en lui caressant la nuque, les flancs, les cuisses. Je posais mes lèvres sur les siennes, puis sur ses joues et dans son cou, avant de revenir à sa bouche humide. Et enfin, elle m’a rendu mes baisers, en glissant ses mains sous mon tee-shirt, pour me caresser la poitrine, les côtes et le dos. Conquis, je l’ai allongée délicatement sur son duvet, je me suis penché sur elle et j’ai continué à l’embrasser et à la dorloter.
Autour de nous le vacarme ...
Des gamins qui braillaient, un chien qui aboyait, des rires, de la musique. Au loin, le dernier groupe en était à la moitié de sa prestation. Pourtant, nous étions seuls au monde, dans la semi-obscurité de la petite canadienne. Je n’entendais plus que son souffle et le bruit de nos baisers. J’ai mis ma main sous son débardeur, puis entre ses cuisses. Sa peau s’est recouverte de petits boutons de chaleur. A aucun moment ...