Baby-sitting et claquement de porte
Datte: 05/11/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
strip,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe
... culotte. Nous serions alors en parfaite égalité homme femme, en pure parité. Il faut briser ce plafond de verre.
Son regard c’était posé dans le mien. Et vu ma mine déconfite, en un dixième de seconde, je crois qu’il pouvait lire en moi comme jamais aucun homme avant.
— Enfin si vous en avez une…
La voix était très mâle dans sa dernière intonation. Il rechercha mon regard.
— Vous m’avez eu là ! En fait, vous n’en portez pas.
Il lisait en moi. Je ne pus que hocher la tête, pas fière du tout, mes petites joues pourpres.
— Cent euros de moins si vous me dites pourquoi.
Avant qu’il ne change d’avis sur cette remise de 100 euros, je lui déballai que c’était l’été, qu’il faisait chaud, et que l’idée m’était surtout venue de traverser Paris ainsi, par manque de lessive. Tout s’était entassé dans mon panier à linge. Et puis ma robe marquait beaucoup les sous-vêtements et que cela ne faisait pas joli de dos. C’était tout simplement disgracieux. Dans ma petite tête, il ne me restait plus qu’à lui payer 450 euros. Ma dette descendait vite et j’en étais fière. Je crois bien que je n’aurai jamais dû rentrer dans ce jeu. Car la prochaine proposition me fit basculer dans un autre univers.
— 200 euros de moins si vous me laissez vous faire un petit bisou.
Je me figeai sur place. En fait, comment dire, pour être plus précise, je me liquéfiai sur place. Mon bas-ventre s’emplit de papillons et je ressentis comme un uppercut dans le cœur. Ce n’était selon lui qu’un ...
... petit bisou. Après tout pourquoi pas, pour deux cents euros. J’eus à peine le temps de reprendre ma respiration qu’il m’embrassa. Un baiser léger tout en finesse et en élégance. Un baiser à faire chavirer mon cœur. Et en plus, sa présence à mes côtés s’imposait à moi. Il était là tout près de moi. Si près que quand sa serviette tomba au sol comme par inadvertance, j’en perdis le peu de lucidité qu’il me restait. Quelque chose de très dur et dressé touchait mes hanches. Un contact plus qu’électrique.
Emportée par la magie de ce baiser, je laissais ses mains m’effleurer et me caresser, prendre possession de mes tétons si douloureux et si sensibles. Il les prit avec douceur de ses doigts, de ses lèvres, de sa langue. J’étais à lui. Il m’avait cueillie comme une fleur, avec mon accord en plus. Qui ne dit mot consent. Quand il accompagna ma main vers son entrejambe je ne demandai pas combien d’euros cela valait. J’étais bien trop heureuse de le faire gratuitement. En fait, ma malchance légendaire tournait, et voilà qu’enfin les éléments s’alignaient en ma faveur.
La suite fut des plus agréables. Jamais de ma vie un homme ne m’avait prise sur la table d’une cuisine. Par deux fois, en plus. Et de la façon la plus mâle possible qu’il m’ait été donné de vivre. Ces moments-là furent uniques pour moi, et surtout bienvenus.
Malgré tous nos bruits, le gamin dormait toujours et semblait être parti pour sa nuit. J’étais ravie d’avoir fermé toutes les portes. Prendre un bain dans leur ...