La guerre des deux frères - Partie 02
Datte: 09/02/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byAgentChelateur, Source: Literotica
... son siège pour s'approcher de la jeune femme toujours occupée par son petit jeu masturbatoire. Il plaqua son entrejambe gonflé contre le visage de sa victime qui hoqueta de surprise. Sans prêter attention à sa réaction, il lui enfonça son pénis dans le fond de la gorge. La bouche empalée par le pieu de son agresseur, Caroline n'eut pas d'autre choix que d'accepter la fellation. Pavon posa alors ses deux grosses mains autour de sa tête pour décider du rythme qu'elle devait adopter pour le contenter. Réduite au rôle de simple objet, Caroline se plia au diktat de ce salaud et calqua le mouvement de sa bouche sur celui des deux mains qui lui enserraient le crâne. Le calvaire de la jeune femme dura de longues minutes avant que, le visage cramoisi, le commissaire la délivra. Elle se recula un peu pour constater qu'il conservait son pénis braqué dans sa direction et, avant qu'elle n'ait pu réagir, il lui aspergea le visage de sa semence chaude et visqueuse.
Le visage souillée, elle s'effondra, haletante, sur le sol. Pavon profita encore de ce spectacle jouissif en reboutonnant son pantalon. Comprenant qu'il en avait fini avec elle, elle agrippa ses vêtements étalés sur le sol.
- J'ai payé, affirma-t-elle en enfilant sa ...
... petite culotte. Je suis libre maintenant.
- Tu rêves, petite conne, lui asséna-t-il. Ne crois pas que je vais me contenter de si peu.
- Mais, ...
- Tais-toi! Je tiens toujours ton avenir entre mes mains et je serais seul juge du moment de la fin de notre relation.
Elle le dévisagea, l'air incrédule et il fut tenté de lui se jeter sur elle et de lui arracher ses derniers lambeaux de dignité afin de bien lui faire comprendre qu'elle était sa place. Ses bonnes intentions furent contrariées par la sonnerie de son téléphone. Il posa la main sur le combiné avant de se tourner vers Caroline qui continuait à la fixer de son air idiot.
- Sors d'ici, grogna-t-il. Fous-moi le camp avant que je ne décide de te jeter dans une cellule pleine de brutes avinées.
Cette menace fut comme un coup de fouet, Caroline enfila rapidement sa jupe et posa son chemisier sur épaule avant de quitter le bureau de Pavon sans demander son reste. Pavon resta une seconde le regard fixé sur ses fabuleuses petites fesses qui se dandinaient alors qu'elle s'enfuyait puis décrocha.
- Pavon, fit-il.
- Salut commissaire, fit la voix de l'homme qui avait fait sa fortune. Nous avons un vrai problème et il va falloir que vous interveniez.