1. Les hôtesses entrent en piste


    Datte: 04/11/2018, Catégories: fff, jeunes, douche, Oral 69, fdanus, jouet, initff, Auteur: Larges Épaules, Source: Revebebe

    ... découvre soudain au sein de gens bienveillants. Difficile de l’expliquer à Magali, qui se retire pudiquement. Je réponds rapidement à André.
    
    La journée avance, et je reçois un texto de Jean, le frère de Magali.
    
    Mes pensées vagabondent, et je me dis qu’il faudrait que j’y aille pour me distraire, mais aussi que tout cela va un peu vite. À tous les coups, ce garçon va vouloir me mettre dans son lit, et à ce rythme-là j’aurai couché avec toute la famille en moins d’un mois. Cette pensée me fait sourire, et me couvre de honte à la fois. Je ne connais pas Jean au-delà d’une rencontre chez lui il y a quelques semaines. Et puis hop, j’accepte, je m’arrangerai bien pour le calmer quelque temps.
    
    Le bisou est sans doute un peu exagéré, mais je n’ai pas d’inspiration au-delà de « sincères salutations » un peu hors de propos. Restant de l’après-midi avec Murakami, et la musique d’Isabelle.
    
    Jean vient me chercher vers 19 heures. Il a l’air d’être un familier de la maison, partageant les vannes avec les occupantes, lesquelles se moquent de son costume strict et de sa cravate collège.
    
    — Ouah Jean, tu es tellement mignon dans ton habit de premier communiant ! Si tu étais un peu plus âgé, il y aurait une chance que je craque, lance Magali.
    — Pour te faire craquer, il vaudrait mieux que je me laisse pousser les seins, et c’est pas facile.
    — Tu exagères, je n’ai rien contre un petit coup de queue de temps en temps.
    — Tu es libre la semaine prochaine ?
    — Non, pas tellement, ...
    ... et en plus je ne suis pas trop protégée contre les attaques de spermatozoïdes…
    
    Participant à l’éclat de rire général, je réalise que Jean connaît les filles depuis longtemps, et qu’elles ont pratiquement vécu dans sa maison. Tout cela dans une belle ambiance, un grand esprit d’ouverture où seules comptent l’amitié et la solidarité, sans préjugés de races ni de préférences sexuelles. Je réalise que Sandra s’est retirée lors de la venue de Jean, sans doute avait-elle à faire.
    
    — Jean, je te remercie de venir me chercher, car j’ai encore quelques craintes à sortir seule.
    — Je comprends très bien, et cela ne me dérange pas. Je suis plutôt honoré d’avoir la confiance d’une aussi jolie fille, je serai ton bouclier.
    — J’ai déjà profité de pas mal de protections familiales, par ailleurs.
    — Oui, papa a beaucoup d’estime pour toi, et sans avoir l’air d’y toucher, il est assez protecteur avec tout son petit monde…
    — Je trouve toute la famille incroyable. Et en plus vous faites tous cela de manière naturelle ou détachée. J’ai beaucoup de chance de vous avoir rencontrés.
    — Si on arrêtait la pommade ? Parlons d’autre chose…
    
    Nous commençons à nous découvrir l’un l’autre. Il me parle de sa passion des voyages lointains, en Inde, Thaïlande, Cambodge, de son émerveillement de la nature et des civilisations si différentes.
    
    — Tu as beaucoup voyagé, toi aussi ?
    — Mon enfance n’a été qu’un voyage, avec des parents diplomates. Ensuite retour en France, études, travail. J’ai vécu ...
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