Balade forestière
Datte: 07/07/2023,
Catégories:
Gay
Vos histoires
Auteur: DanyRein, Source: Histoires-de-Sexe.club
... naturellement imberbe et sans poil apparent à part un très fin duvet partout où je devrais avoir une pilosité classique. Non je suis comme une fille, nue comme un ver.
Les deux mains qui me prennent la tête et me la tirent en arrière. Une bouche vient se coller à ma bouche ouverte par la surprise et la langue de mon visiteur plonge au fond de ma gorge et s’entortille à ma langue. Je pousse des gémissements de surprise et certainement aussi d’un désir naissant.
Je deviens fou de désir, folle de désir devrais-je dire. Des mains courent sur tout mon corps, je ne sais plus à qui elles appartiennent et me font gémir elles aussi de plaisir. Tout mon corps répond maintenant à toutes ces caresses. Je sens qu’on essaie de me retirer mes vêtements. Ce sera facile, un short très court, un string et un tee-shirt. Me voilà nu en basket et chaussettes. Mon corps se tord sous toutes ces caresses, je sens des doigts qui me masturbent ma queue, une main me pétrit mes couilles, mes seins sont malaxés et pincés, mes cuisses écartées, des mains sous mes fesses commencent à me faire délirer et maintenant un ou plusieurs doigts me pénètrent l’anus, anus qui ne résiste même plus tant le plaisir est intense. Je gémis, râle de plus en plus fort. Je manifeste honteusement à mes violeurs tout le plaisir qu’ils me donnent par des simulacres de résistance qui ne trompent plus personne sauf moi-même.
Mes cuisses sont écartées et je sens qu’un de mes agresseurs les prend pour les poser sur ses ...
... épaules. Il me cramponne bien et je sens son ventre, sa poitrine contre l’arrière de mes cuisses. Son bas-ventre vient se coller sur mes fesses. Il pose le bout de sa queue entre elles, cherche mon petit trou, trou qui s’est élargi après le déflocage en règle des divers doigts qui sont passés dessus et dedans. Mon anneau, mon entrée est trempée de mouille anale. J’ai mouillé autant que mes copines lorsque je m’amuse avec leurs parties sensibles.
Le gland se pose sur ma rondelle et je sens la poussée lente, mais inexorable de mon assaillant. Son sexe entre en moi. Je deviens une femelle baisée, enculée plus exactement. Il s’enfonce doucement de plus en plus profondément, il me distend les tissus et je sens un plaisir intense qui envahit mon ventre et mon cul. Je me fais enculer, je me fais enculer. Non il ne faut pas, non arrêtez, je ne veux pas. Oh que c’est bon, c’est bon. Il est au fond de moi, s’arrête. Les mains des autres violeurs me touchent partout en même temps, c’est délirant. Je ne sais plus ce qui se passe pour moi. Je deviens un sexe de partout. J’aime ces bouches qui me lèchent, me sucent, me mordillent la peau. Je ne gémis plus, je râle à gorge déployée.
Le sexe se retire doucement presque jusqu’à mon anus, mais d’un seul coup et presque brutalement replonge en moi en me faisant hurler de plaisir. Je veux qu’il m’encule à fond, je ne peux lui dire, mais j’en ai envie terriblement et là il se déchaîne. Ses coups de reins me démontent le cul, les intestins, le ventre, ...