1. la baie (1)


    Datte: 04/11/2018, Catégories: Transexuels Auteur: salopelaeti, Source: Xstory

    C’est un joli lac serti de collines verdoyantes, tout rond, avec un joli chemin de halage ombragé de peupliers. Le vent fait chanter les feuilles qui vous rafraîchissent de leur douce mélopée naturelle. C’est désert en toutes saisons, quelques baigneurs et pêcheurs seulement.
    
    J’aime m’ y promener, me baigner nue, espérant être surprise par une belle femme ou un beau mec qui viendra me rejoindre. Au fil du chemin, derrière un talus, j’espère y trouver une femme en tenue d’Eve qui bronze et qui sera accueillante.
    
    Mais ça n’arrive jamais ; les saisons passent et j’en ai parcouru 100 fois le tour et je n’ai jamais fait de rencontres... Ah si ! une année ma boulangère, une femme mature très bien charpentée qui se baignait... Quelle beauté ... inaccessible ! Gros cul, gros nichons, beau visage, le rêve...
    
    Les Français sont prudes ... et n’aiment pas la Nature.
    
    Ce soir d’août, le temps est beau et chaud, le soleil doré descend doucement dans son alcôve derrière les collines moutonnées. Je marche sur le chemin de halage, le bétail frémit derrière les haies, les feuilles sont en mode crécelles sous le joug du vent. Tout est limpide et clair. La marche est aisée, le spectacle est fabuleux, le soleil soudain rouge se reflète dans le lac.
    
    Inattendu, dans une anse abritée par des tamaris, un pécheur d’un type nouveau traque le brochet nu dans ses wadders, un baudrier en latex enserre son buste, ses seins développés et son sexe en érection et divise ses fesses, en une ...
    ... invitation sans ambiguïté ! IMBERBE UN PEU BEDONNANT ONCTUEUX tel que je les aime. Voir une personne nue quand on ne s’ y attend pas est une chose magique, troublante, déstabilisante ... mon cœur bat à 100 à l’heure, mais l’ occasion de ma vie est là. Le mec insiste, sa bite est à l’ invite. Je me déshabille du peu que j’avais et je nage telle une loutre affamée, attirée par l’hameçon. Mes fesses fendent l’eau et ma quille déployée équilibre mon corps et attiré vers le fond par mes grosses prothèses mammaires.
    
    Pas de présentation, nous savons ce que nous voulons, je m’approche, je reprends pied, l’eau ruisselle sur mon corps et ma poitrine de 135 TP. L’homme s’avance vers moi, sa densité physique m’impressionne, il ruisselle aussi, le latex qui ceint son buste m’excite, son sexe sort de l’eau tel un périscope, il m’embrasse, sa langue fouille la mienne, sa main rude tord mon clito de travesti. Je me retiens pour ne pas éjaculer, il m’enfonce sous l’eau et je dois lui sucer la bite et l’anus. Pas facile, je bois la tasse, mais la situation est singulière. Il essaye de m’enculer, mais je me dérobe tant mon orifice est fermé.
    
    Nous nous dirigeons vers son cabanon sur pilotis perdu dans les ajoncs, il troque ses wadders pour des cuissardes, passe des bas et une cagoule. Je me retrouve attachée, les jambes écartées au pied de l’escalier, attachée par les chevilles à chaque rebord de la 1ere marche et les poignets attachés au plafond de la véranda.
    
    L’ homme monte sur les marches ...
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