Une soirée de réveillon trés spéciale
Datte: 04/11/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
2couples,
grp,
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jeunes,
inconnu,
copains,
boitenuit,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
init,
journal,
Auteur: Anouchka Farland, Source: Revebebe
... dis-je, les yeux pleins de promesses.
— J’aimerais bien : tu es la seule avec qui j’ai eu un véritable échange ; les autres, j’avais même pas envie de leur parler.
— Je suis contente que l’on se soit trouvé.
Mes mains et ma bouche sont déjà en voyage sur son avant-bras. Je laisse mon envie se manifester en lui pétrissant les mains ; je les porte à ma bouche. Il s’empare du baiser que je lui tends et me le rend avec toute la sensualité dont peuvent faire preuve les hommes sensibles. Sa respiration est tellement empreinte d’émotion que je me sens parcourue d’un frisson électrisant mon échine. J’ai le regard brûlant mais le sourire timide ; je reste retenue, haletante certes, mais je n’engage rien avant qu’il ne le déclenche. Il comprend mon désir et m’emmène vers un lit.
Debout, tout près l’un de l’autre, nous nous regardons dans les yeux en souriant. Il fait juste la bonne taille quand je porte mes talons. Il m’embrasse, me prend le visage dans ses mains, me serre contre lui. C’est envoûtant. Je réponds à son étreinte avec toute la tendresse que j’aurais voulu offrir à une belle rencontre. Car à cet instant je sais que c’est lui, ma belle rencontre de la soirée : je me sens si bien que le reste a comme disparu. Nous sommes tous les deux dans une bulle, nous échangeons des caresses avec beaucoup de douceur. Il prend soin de ne pas me brusquer, pendant qu’intérieurement je bouillonne à petit feu. Tout doucement, il m’allonge sur le lit et me contemple tranquillement ; ...
... il fait le tour pour se placer face à moi, et d’un geste se débarrasse de sa chemise. Il est beau. Sous son pantalon, je perçois un renflement et me mords les lèvres sans m’en rendre compte.
Enfin, il se penche sur moi et commence à glisser ses mains sous mes vêtements. Je suffoque et me tortille pour me contenir comme je peux. Il m’embrasse les seins ; je brûle, je sens que je coule. Mes jambes se frottent, mon bassin ondule, ma poitrine se soulève : je suis prête, je n’attends plus que lui.
Ses mains qui passent entre mes jambes sur mon collant me font perdre la tête. Ce collant est une barrière infranchissable, le tissu tendu est si fin… Ses doigts passent sur moi et je me soulève pour sentir plus de contact. Le calvaire semble durer une éternité ; j’adore être torturée de la sorte.
Je tire sur l’élastique à ma taille pour le faire descendre ; mon Apollon m’aide à me libérer, et enfin je sens sa bouche sur ma peau. Tout d’abord tendrement sur la cuisse : il prend son temps, je sais que je peux me détendre… Sa langue veloutée m’effleure en douceur, et je gémis langoureusement en fermant les yeux. Je suis loin mais pourtant complètement là ; je ressens tout avec une telle intensité que plus rien n’existe que la palpitation qui grandit dans mon ventre. Je voudrais sentir quelque chose me combler, le vide aspire ses doigts. Il me fait attendre ; je ne tiens plus.
Je me redresse pour lui faire face ; je le regarde en me rendant compte de cet instant hallucinant. De ...