Le Monarque : Danaus plexippus
Datte: 03/11/2018,
Catégories:
fh,
cadeau,
cocus,
vacances,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... cela.
— Mais si. Où est le mal ? Ton mari te donne sa bénédiction.
— Mais toi ?
— Le plaisir de te savoir épanouie. Le plaisir de t’imaginer. Ce plaisir là…
Et je défais ma serviette qui révèle ma queue en demi-érection.
— Tu bandes ! Tu bandes de m’imaginer… Tu vois que tu es un pervers ! Cochon ! Mon mari est content d’être cocu. Le monde à l’envers !
— Mais oui, je le reconnais. Promets-moi que tu retourneras le voir. Une fois ne compte pas, surtout que tu l’as laissé dans cet état…
Et je montre ma queue qui gonfle encore. Il me suffit de penser à ce que j’ai vu ! Elle regarde, sourit.
— Allons, chérie, promets. Demain. De toute façon, sa femme ne vient pas ce week-end, alors il pourra garder ses forces pour toi.
Sa main se saisit de ma bite comme pour en vérifier la vigueur.
— C’est ce que je dis : le monde à l’envers. Un mari qui fait promettre à sa femme de le cocufier.
— Peut-être, mais une femme adultère doit se faire pardonner…
Il n’est pas nécessaire d’en dire plus. Elle aussi doit avoir en souvenir ce qu’elle vient de faire à Rémy. C’est toute la subtilité de cette situation. Elle se souvient. Moi, je la vois encore… se pencher… lécher la bite de son amant… gober le gland… avancer les lèvres… C’est sur ma bite qu’elle le fait maintenant. Elle me suce. Ses lèvres sont du velours. Putain, que c’est bon ! A-t-elle conscience qu’elle me bouffe plus de la moitié de la queue alors qu’avec Rémy on avait l’impression que seul le bout était en ...
... bouche ?
Elle me laisse.« Elle ne va quand même pas me faire le même plan qu’avec Rémy ? » Non, elle s’allonge. Elle s’installe comme j’aime, la tête au bord de la banquette, légèrement dans le vide, invitation suprême à ce que je baise sa gorge.
Que de progrès accomplis en quelques mois ! D’une sucette vite expédiée du temps d’avant, avant tout cela, avant nos fameux papillons, à la fellation déjà plus "travaillée", à genoux devant moi, pour atteindre le nirvana : Martine allongée offrant sa gorge à ma queue, me laissant maître de mon plaisir.
Je reconnais que ce n’est pas une position qui fait honneur à la libération de la femme, si on pense libération, libérée du sexe, de l’homme, de sa queue et des plaisirs partagés. Pourtant Martine n’est pas qu’une bouche offerte ; dès que j’avance vers elle, ses mains se plaquent contre mes fesses, chatouillent ma raie, jouent avec mon petit trou. C’est beau à voir. C’est délicieux de le faire. Ma bite s’engouffre entre les lèvres. Mes couilles servent de "carré blanc" devant ses yeux.
— Promets-moi de revoir Rémy.
— Mummmmm…
Le mouvement me dit oui ; le "Mummmmm…" est une ponctuation sur la bite.
— Il t’a déjà prise ?
— Mummmm !
— Normalement ?
— Mummmm !
Que c’est bon, ce grondement auquel on fait tout dire.
— Demain, tu vas faire honneur à ton mari.
— Mummmm !
— Tu vas le sucer.
— Mummmm !
— Tu vas lui offrir ta chatte.
— Mummmm !
— Ton cul.
Un instant, elle arrive à se libérer de ma bite, reprendre ...