Le Monarque : Danaus plexippus
Datte: 03/11/2018,
Catégories:
fh,
cadeau,
cocus,
vacances,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... verge.
Martine le constate avant moi : en effet, je bande alors que je fais une fellation à un homme. Pourquoi pas ?
— Cochon… Vicieux… Pervers… s’amuse à me traiter mon épouse, toujours taquine.
Pendant qu’elle me parle, Martine me caresse. Non seulement elle s’est saisie de ma queue durcie, mais elle flatte mes fesses, me guidant afin de me rendre plus accessible. Bientôt je suis à quatre pattes et ma femme couvre mes fesses de baisers. Mon petit trou est chatouillé, titillé et léché.
Une voix derrière moi dit bientôt :
— Rémy, as-tu déjà sodomisé un homme ?
La surprise de la question fait frémir la queue que je suce toujours.
— Non. Pour…
"Pourquoi" est certainement ce qu’il allait dire, mais lui comme moi comprenons le sens de la question. Ainsi, voilà où elle voulait en venir ; j’aurais dû y penser. Depuis sa découverte dans le blockhaus, Martine est manifestement troublée par ces deux hommes qui baisaient. Elle veut reproduire ce scénario sur moi. M’enfiler un gode ne lui suffit plus.
— Alors viens.
Rémy se lève, me laissant orphelin de sa bite. Cette bite que j’ai préparée avec plaisir pour ma femme et qui…
Il suffirait de dire non, ou même de quitter la pièce sans un mot. Mais quelle honte ! Refuser ce que je demande à ma femme… Non, je reste. Mais tout de même autant que ce soit confortable. Mes genoux me font mal. Je me lève et m’installe sur le canapé, à genoux, mais sur de la mousse et en appui sur le dossier. Combien de fois ...
... ai-je possédé ma femme de cette façon ? Incalculable ! Car très excitante pour moi comme pour elle. Sauf que ce sont mes couilles et ma queue qui pendent et non pas une chatte.
Je n’ai pas peur. Après tout, si la queue de Rémy est plus longue, elle n’est pas plus grosse que le gode qui me ramone le cul d’habitude.
Un doigt. Martine ou Rémy ? Un doigt qui s’active, petite bite. Et puis un moment de liberté. Je ferme les yeux. Je n’ai pas besoin de regarder derrière moi, car je sais, j’imagine.
La salive que l’on me crache dans l’anus : Martine.
La main qui branle ma queue : Martine.
La main qui guide la queue de Rémy vers mon cul : Martine.
La voix qui dit « Allez, Rémy, prends-le ! » : Martine.
Mais la pointe qui pousse, déforme mon anus et entre : c’est Rémy, bien sûr.
Ensuite, c’est une longue progression avec mes entrailles qui s’ouvrent.
Le salaud, il est long…
— Tu n’as pas mal, chéri ? demande mon enculeuse par procuration.
— Non.
Je réponds, mais je manque de souffle. Ma respiration s’est accélérée. Moi aussi je tortille du cul. Ce n’est pas seulement du vice, mais l’envie de bien le sentir, ce gros machin qui me possède. Un peu comme une femme. Mais d’une certaine façon, c’est ce que je suis. Quelle différence ?
Rémy commence à bouger. Il est moins lourd contre moi. Il quitte le reposoir de mes fesses. Il se retire. Mais il revient. Une fois. Deux fois. Encore. Encore. Chaque fois, j’attends le moment où ses couilles stoppent sa ...