Au lit
Datte: 03/11/2018,
Catégories:
fh,
couple,
pénétratio,
Auteur: Mister LuJ, Source: Revebebe
... s’agenouille, pose ses mains sur ces fesses qu’il aime tant, approche sa bouche.
— Non, je veux que tu me prennes. Pas ça. Je veux sentir ta queue.
Il ne contrôle pas la situation, il se redresse, la queue tendue, gorgée d’envie, gonflée comme jamais. Il se place derrière elle et avant qu’il ait pu esquisser le moindre geste, dans un mouvement de recul violent et brutal, elle s’empale sur lui. Déséquilibré par la surprise et la violence du contact, il lui attrape les hanches. Il est planté en elle. Elle ne bouge plus. Elle a poussé un gémissement pendant qu’elle satisfaisait son envie de lui. Il est là, sentant son vit enserré dans la chaude moiteur de ce nid douillet. Il commence lentement à aller et venir. Il sait qu’il ne jouira pas trop vite. Il a déjà joui, il y a peu de temps. Il s’enfonce profondément à chaque mouvement. Ses cuisses viennent au contact des cuisses de celle qu’il possède ainsi. À chacun de ces contacts, elle pousse un cri. Elle se fait chienne. Elle ondule son bassin au rythme de ses mouvements. Elle veut être à lui, entièrement. Elle veut être sa chose. Elle veut qu’il la fasse crier.
L’effet de surprise est passé. Il accélère les mouvements. Il serre plus fort les hanches entre ses mains.
— Oui, j’aime que tu me baises comme ça. Serre plus fort. Encore.
Ces mots ont le don de l’électriser. Son sang bout. Il se laisse aller. Il sait que ses doigts laisseront des traces sur les hanches. Il n’en a cure. Il veut la baiser. Elle a réussi ...
... son coup. Elle le rend fou.
Il fait claquer ses couilles sur ses cuisses, son pubis sur ses fesses. Plus ça claque, plus il a envie que ça claque. Ses mouvements se font plus durs, plus violents.
Ils ne sont plus des amants amoureux, ils sont devenus bestiaux.
Il sent la cyprine couler sur sa queue. Il sent qu’elle est à lui. Elle s’est offerte complètement.
Il écarte ses fesses pour plonger son regard sur son œillet. Il le voit palpiter. Il sent son appel. Il le caresse du pouce. Il voit son membre tendu entrer et sortir, il voit son pouce tourner autour de l’orifice convoité. Il l’entend geindre. Elle se laisse embarquer. Elle est sous l’emprise du plaisir. Elle n’entend plus rien d’autre. Juste ses cris, et son sang battre ses tempes. Elle ruisselle, elle le sent, elle le sait. Elle veut être la salope dont il pourra abuser jusqu’à la jouissance.
Elle le lui dit.
Il enfonce son pouce. Facilement. Surprise, elle pousse un nouveau cri.
— Tu aimes que je m’occupe de ton cul… hein ?
Elle gémit un oui à peine audible.
Il la fait répéter.
— Dis-moi que tu aimes ça.
— Oui, salaud j’aime que tu t’occupes de mon cul…
Il continue ses mouvements amples, brutaux, primaires.
Elle est remplie. Sa queue, son pouce. Elle aime ça, elle se sent entièrement à lui, rien que lui. Elle est sa proie, son amour, son plaisir.
Il ne peut pas l’aimer plus que dans ces moments-là, quand il la possède entièrement, quand il sait que pour lui, elle devient garce, ...