1. Clair de lune


    Datte: 03/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Emile, Source: Hds

    Merci de ton offrande,
    
    O Vénus callipyge,
    
    Qui soudain dans la chambre
    
    Ton joli cul érige
    
    Et dévoile tes trésors,
    
    Tête baissée, fesses en l’air,
    
    Prête à la petite mort,
    
    Ton joli cul ouvert.
    
    Lucifer guide ma main
    
    Qui soudain en perfore
    
    Les accueillants ravins,
    
    Bienheureux Nicéphore,
    
    Les emplit de désir,
    
    Les possède à l’envi,
    
    Te bouscule à loisir
    
    Et t’inonde de vie.
    
    Soumise mais maîtresse
    
    Ton plaisir tu cisèle
    
    Et t’impose traîtresse
    
    En naïve pucelle ;
    
    Ébloui et candide,
    
    Je me laisse abuser ;
    
    De ton désir avide,
    
    Je crois tout contrôler.
    
    Mais quelle satisfaction
    
    De laper ton intime,
    
    Et de ta séduction
    
    Me sentir la victime ;
    
    Tout ton corps est à moi,
    
    Livré, totalement zen,
    
    Je peux au bon endroit
    
    Infiltrer ses avens.
    
    J’aime tes petits seins
    
    Et ton cul de déesse,
    
    J’apprécie en chemin,
    
    La douceur de ta fesse,
    
    Tes mollets bien galbés,
    
    Ton petit pied romain,
    
    Tes jolis bras musclés,
    
    La finesse de ta main.
    
    J’aime bien le toucher
    
    De mon sein sur ton dos
    
    Qui sans se déplacer
    
    Te caresse la peau.
    
    Toujours plus agissante
    
    La vigueur de mes doigts
    
    Entre douce et puissante
    
    N’ignore aucun endroit.
    
    J’érige ton mamelon
    
    Et masse sans vergogne
    
    Ton petit ventre rond
    
    Que, sans fin, je besogne ;
    
    J’enserre ton visage
    
    De mes mains malhabiles,
    
    Embrasse tes lèvres sages
    
    Et ma bouche jubile.
    
    De tes cuisses écartées
    
    Je perçois le langage
    
    Et lors d’un long baiser
    
    Mon esprit fait naufrage.
    
    Ton petit nez mutin
    
    ton oreille bien ourlée,
    
    Et tes lèvres carmin
    
    Je chéris d’embrasser.
    
    Comme Sardanapale
    
    Au feu de ton bûcher,
    
    Mon énergie vitale
    
    Je te laisse consumer ;
    
    De bonheur, il est vrai,
    
    Je dirais même d’extase
    
    Lorsque mon verbe haut
    
    Se repaît de l’emphase.
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