1. Pauline à Marseille (4)


    Datte: 09/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... empourprée, Pauline fit prestement glisser son dernier et fragile rempart sur ses cuisses, l’enjamba et le posa sur le fauteuil. Puis elle tenta de se faire aussi petite que possible, mordant furieusement sa lèvre inférieure.
    
    — Tu vas te tenir droite, oui ? Je veux voir la marchandise avant de l’utiliser, moi. Allez, vite. Tu montrais plus d’enthousiasme à montrer ton cul dans le bar, tout à l’heure !
    
    Mortifiée, Pauline sentit une rougeur cuisante gagner jusqu’au bout de ses oreilles tellement elle avait honte. Mais elle obéit et se redressa tant bien que mal.
    
    — C’est mieux. Écarte bien les jambes, tu seras plus stable. Là, encore un peu, que je vois mieux ta tirelire. Tu es une vraie blonde… Tu ne t’épiles pas ?
    
    — Non, je… Je n’ai pas beaucoup de poils...
    
    — C’est vrai. Mais il faudra y passer, Jacky m’en a parlé. Bon, voyons ça… Putain, tu es trempée ! Il a raison, Jacky, tu es une chaudasse.
    
    Pauline se demanda si elle pouvait encore rougir tellement la honte la submergeait ; elle ‘avait pu retenir un petit cri quand deux doigts avaient plongé avec dextérité entre ses lèvres intimes. Ses mains vinrent entourer l’épais poignet de Jamel qui la réprimanda aussitôt :
    
    — Les mains dans le dos, vite, ou je te dérouille. Jacky m’a expliqué que tu aimais ça, mais je peux être très méchant.
    
    — Pardon mais… Oh, c’est trop, faites doucement ! Doucement s’il vous plaît !
    
    Jamel avait joint trois doigts pour les enfoncer jusqu’à la jointure dans l’étroit ...
    ... fourreau, arrachant des protestations timides à la jeune fille. Malgré tout, elle laissa ses mains dans son dos, n’osant pas contrarier son nouveau tourmenteur. Presque machinalement elle écarta un peu plus les cuisses en projetant son ventre en avant, comme pour s’offrir à Jamel. Qui se redressa en ricanant, conscient du désarroi de la jolie blonde.
    
    — Bon, ouvre ton sac : il n’y a plus tes papiers ni ton fric, mais tu trouveras du lubrifiant et quelques autres trucs exprès pour toi.
    
    Monsieur Jacky lui avait pris ses papiers ? Elle n’avait pas d’argent, il voulait qu’elle dépende entièrement de lui… Secouant la tête, Pauline ouvrit son sac et en sortit ses courses, deux yaourts, du coca et des pommes, ainsi qu’un tube de lubrifiant, des paires de menottes et un collier en acier, une sorte de cagoule en cuir noir, des chaînes et un gros objet ovoïde rouge qu’elle examina avec méfiance.
    
    — C’est un plug, j’ai choisi un gros : une fois que je t’aurai bien enculée il entrera tout seul.
    
    Pauline se retourna pour protester mais resta figée quand elle s’aperçut que Jamel s’était déshabillé entièrement : c’était un colosse taillé en athlète dont la présence emplissait la petite pièce et dont la virilité dressée époustoufla la jeune fille. Et provoqua un émoi certain dans son bas-ventre malgré la crainte de devoir accueillir en elle.
    
    « Mon Dieu, il est énorme ! Je ne savais pas que ça pouvait exister ; et il envisage de me pénétrer par-derrière… Il va m’estropier, c’est certain ! ...