1. Maman...pourquoi es tu aussi salope ? (1)


    Datte: 02/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    Ma mère va faire ses petites courses: pharmacie, banque et surtout son épicier arabe, Mourad. Oh elle n’y va pas pour acheter de la semoule, mais pour son petit trafic. Ma mère a un gros défaut, enfin, après celui de n’être pas trop attirante sexuellement, c’est une avarice démesurée et un appât du gain phénoménal.
    
    Mourad c ‘est le blanchisseur de l’argent sale qu’elle transporte dans son sac en tissu, qu’elle serre amoureusement contre elle. Un jour elle m’a dit que plutôt que de lâcher son sac à un voleur, elle se proposerait de faire tout ce qu’il voudrait ; et en disant “tout” elle m’avait lancé un regard lubrique.
    
    Après, les petites combines de ma mère, c’est pas du grand banditisme non plus, trafic de clopes, d’alcool, des petits trucs qui pourraient néanmoins gêner mon directeur de lycée de père.
    
    Après sa réputation, ma mère s’en contrefout, de toute manière elle méprise mon père depuis longtemps ; depuis qu’il ne la touche plus, tout bien considéré. C’est aussi depuis cette époque que ma mère s’habille comme un sac... Et c’est dommage parce que physiquement elle est pas mal. Je peux en parler parce que son anatomie n’a plus de secrets pour moi... Enfin presque. Ma mère n’a aucun pudeur, ni aucune gêne à me laisser entrer dans la salle de bain alors qu’elle est nue; je connais ses seins et sa chatte, poilue d’ailleurs, par contre ce qu’il y a entre les cuisses c’est une autre affaire. Et je n’ai jamais eu le courage de lui demander de me montrer la ...
    ... ”totale”...
    
    Non ma mère ce qui l’intéresse, ce sont les 4000 euros en billets de 50, 100 et 200, qu’elle transporte...
    
    Déjà partie depuis cinq minutes, par le petit chemin forestier qui conduit au quartier un peu sensible de notre ville, je m’aperçois qu’elle a oublié son ordonnance, je cours après elle pour la lui rapporter.
    
    Arrivé à un virage, je stoppe net, il y a du monde sur le chemin en compagnie de ma mère... Et pas du beau. La bande à Mario ; des jeunes désœuvrés, pour la plupart sortis du lycée, après plusieurs redoublements, sans aucun diplôme en poche. Leur passe temps c’est de fumer du shit, faire des petits trafics, emmerder les gens et lever des salopes comme ils disent.
    
    Et à voir leur tête, ils ont ferré “un poisson”. Mais je m’aperçois que ce n’est pas la vertu de ma mère qui les intéresse... C’est vrai qu’avec sa petite robe blanche à lignes bleues, il n’y a pas de quoi faire bander un mort. Discrètement à travers les bois qui surplombent le chemin, je me place derrière un buisson, je vois et entends tout.
    
    Les six malotrus dépassant tous ma mère d’au moins une tête, sont autour de ma génitrice et essayent de lui arracher son sac. Ma mère s’y cramponne avec une force herculéenne. Ah elle veut vraiment pas les lâcher ses 4000 euros, ça la rendrait malade !
    
    Mais le combat est trop inégal et après deux minutes d’échauffourées, l’un deux, au crâne rasé s’empare du précieux trésor. Il l’ouvre et découvre ahuri les liasses de billets:
    
    “ Chouf Mario, ...
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