Chap 24 : Livraison expresse
Datte: 09/02/2018,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Sexe Interracial
Auteur: BreizhouXXX, Source: xHamster
... Oui, je veux bien, s'il vous plait.
Pendant que je souffle sur ma tasse de café brûlant, la beurette se met à genoux pour déchirer le carton. Cela a pour effet de faire glisser son pantalon de pyjama noir en satin sur son postérieur. J'ai une vue imprenable sur la moitié de ses fesses et le début de sa raie. Je bande aussi sec et des idées lubriques traversent mon esprit.
Je ne peux détourner mon regard, elle est plutôt bien en chair, son fessier est assez large, mais semble ferme. J'ai envie de baisser son pantalon, de tâter ses miches, de lécher cette raie qui me fait de l'œil. Mais je me contiens, je ne veux pas avoir de problème, ni avec elle, ni son mari et encore moins avec mon employeur.
- Vous pouvez me tenir ça?
Elle me tend une partie de la nouvelle table basse. Je la contourne et me retrouve face à elle. Elle se penche pour prendre une autre pièce du meuble et m'offre ainsi une vue très agréable sur son décolleté.
Je suis de plus en plus en émoi et j'ai mal au gland à force de bander dans mon jean's.
Je reprends ensuite ma place initiale, derrière elle et je mate à nouveau son joli cul. D'une main, je replace correctement mon service 3 pièces dans mon boxer. Elle me surprend.
- Un problème?
Je suis super honteux qu'elle m'ait vu et je balbutie:
- Euh non, c'est juste que je vois tout votre...
Visiblement, elle avait senti mon regard pervers sur elle. Elle tourne la tête pour contempler son arrière-train.
- Oh excusez-moi, je suis ...
... désolé.
- Ce n'est rien, c'est même plutôt agréable de si bon matin.
- Vous n'étiez pas obligé de regarder.
- C'est que...je ne vois que ça.
Elle me sourit et réajuste son pantalon. J'ai cru un instant qu'elle allait m'en montrer davantage, mais non. Sauf qu'elle continue de contrôler sa marchandise et petit à petit son bas descend à nouveau. C'est pas possible, elle le fait exprès, elle doit bien s'en rendre compte qu'il glisse.
Peut-être que ça l'excite de s'exhiber, que je la reluque vulgairement.
- Madame, il y a votre pantalon qui...
- Oui, oui, je sais.
Deux options s'offrent à moi. La première étant de ne rien faire, juste observer la scène et repartir de chez elle avec une gaule monumentale que je vais trimballer un petit moment.
La seconde, plus risquée, est de m'approcher d'elle et de la caresser, avec comme retour de bâton possible, une claque, un coup de fil à mon patron, voir même une plainte chez les flics pour tentative de viol.
Ma raison me pousse à ne rien faire, mais ma queue emprisonnée dans mon boxer me supplie d'aborder le second choix.
Je m'avance, elle sent ma présence, je pose une main sur sa fesse et la palpe. Parfois, il n'y a pas besoin de mots. Elle se retourne, me sourit, m'agrippe par le col pour que je m'incline à sa hauteur et elle m'embrasse.
C'est dans la poche, ma main se faufile entièrement dans son pyjama pour tripoter ses trésors. Elle est très poilue et déjà humide. Sa langue cherche la mienne, pendant ...