1. Comment ma femme s'est dévergondée (12)


    Datte: 02/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: DEBORAH SOUMISE, Source: Xstory

    ... crois.
    
    — Je peux vous faire une bise sur la joue, Mademoiselle ?
    
    — Non ! Tu sais que c’est interdit. Allez, file, je n’ai rien entendu !
    
    Je sors, passe le jardinet, et sonne chez Daniel.
    
    -Tu es à l’heure, c’est bien. Mets-toi à poil.
    
    Je me déshabille. Torse nu, j’enlève le pantalon.
    
    — Ah ça y est ! Enfin ! Tu portes des culottes…!
    
    Celle du jour est un tanga rouge dentelle.
    
    Il prend toutes mes affaires, chaussures comprises.
    
    -Viens avec moi dans le cellier, il donne sur le salon, il y a une petite ouverture, tu pourras "voir et entendre" !
    
    — Assieds-toi sur la chaise haute, là ! Je reviens.
    
    Il revient avec les menottes, des cordes, un gant de toilette, un torchon.
    
    — Je vais te "préparer".
    
    Il commence à m’entraver les mains derrière le dos avec les menottes. Puis m’attache chaque cheville aux montants droit et gauche de la chaise. Puis sort et revient avec un collier de chien vert clouté qu’il me passe autour du cou. Qu’il relie grâce à une corde aux menottes dans mon dos. J’ai la tête tirée et maintenue légèrement en arrière. Suis complètement immobilisé.
    
    — Bien. Tu as assez d’angle de vision ? Tu vois bien ?
    
    — Oui Monsieur. Je vois tout : les canapés, la table de salon, tout.
    
    — Très bien.
    
    Il prend le gant de toilette et le torchon.
    
    — Suis obligé de te bâillonner. Ouvre la bouche en grand !
    
    Il fait une boule avec le gant de toilette, me l’enfonce dans la bouche.
    
    — Voilà, comme ça, c’est bien.
    
    Puis immédiatement ...
    ... passe le torchon entre mes lèvres, le noue derrière la nuque avec un double nœud.
    
    — Te voilà prête pour le spectacle !!!!
    
    Il sort, ferme la porte à clef et l’enlève de la serrure.
    
    Je reste nu, entravé sur la chaise, bâillonné, à attendre que l’autre arrive. Je suis ainsi au moins 30 minutes.
    
    Deux coups de sonnette retentissent. C’est l’heure, il doit être 18 heures.
    
    — Salut Laurent !
    
    — Salut Daniel, tu vas bien ??
    
    — Oui, impec’ ! Entre, je t’en prie !
    
    Il l’installe au salon. L’autre enlève sa veste. Je vois tout. Et entend tout.
    
    — Tu bois quoi ? Pastis ? Rosé ?
    
    — Un petit "jaune" s’il te plait, Daniel !
    
    Il sert deux Pastis, amène une cruche d’eau et des gâteaux apéro.
    
    — Alors, vas y, raconte moi tout pour la petite !!
    
    — Eh bien comme je t’ai dis dimanche, elle m’a toujours excité. Je l’ai donc draguée doucement, et je suis passé par le mari. Une fois il s’était baigné sans maillot, j’ai donc vu sa petite bite, un jour je l’ai pris à part et lui expliqué qu’avec un si petit sexe, il ne pouvait contenter sa femme, et qu’un jour où l’autre elle partirait, ce qui est vrai d’ailleurs. Je lui ai mis le marché en mains : il se soumettait, acceptait d’être cocu, et moi je devenais l’amant de sa femme pour la contenter sexuellement.
    
    — Et ?
    
    — Il a compris et accepté. J’ai donc vu sa femme en son absence plusieurs fois, j’ai commencé à l’emballer un après-midi, séance de pelles et de galoches, pelotages, elle était prête, voulait baiser, mais je ...
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