1. COLLECTION DOMINANT DOMINE. L’Hypnotiseur (1/1)


    Datte: 09/02/2018, Catégories: A dormir debout, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... la tête dans son cul,
    
    • Voilà c’est bien, je vous remercie, n’oubliez pas demain 15 heures à mon hôtel, l’adresse est sur le papier que vous avez dans votre main depuis le début de mon numéro.
    
    Lisez-le.
    
    • 15 heures, hôtel de la gare.
    
    Nous voyons le mari prendre le papier et le déchirer sauvagement.
    
    • Reste calme, mon pote, c’est de l’humour, je vais partir en espérant que mon numéro vous aura plu, vous pouvez m’applaudir une dernière fois.
    
    • Vous avez oublié Jacinthe et Julien, j’en ai encore besoin après leurs vacances.
    
    • Mince, vous avez raison patron, je les oubliais à tourner à quatre pattes, regardez, on dirait qu’il sent le cul de sa chienne, il est dégoûtant en public.
    
    Relevez-vous.
    
    Je suis debout ainsi que Jacinthe.
    
    • Mes amis, je vais vous réveiller, vous n’aurez aucun souvenir de ce que vous avez fait sur cette scène.
    
    Péripatéticienne, il m’a dit de me souvenir de ce mot.
    
    • Réveillez-vous !
    
    Jacinthe, vous pouvez retourner à votre place sous un tonnerre d’applaudissements.
    
    Julien à nous, ce repas, l’ai-je gagné ?
    
    • Certainement pas, j’ai un peu les bras lourds, mais à part ça, il ne m’est rien arrivé.
    
    • Vous avez raison Julien, certains d’entre vous, je n’arrive pas à leur faire faire quoi que ce soit, j’ai perdu ce pari, au revoir messieurs, mesdames, heureux d’avoir passé la soirée avec notre ami.
    
    Il me fait saluer, je savais que c’était un charlatan.
    
    Après quelques quolibets, je trouve bizarre que Colette la ...
    ... facturière qui travaille dans le bureau avec Jacinthe s’engueule avec son mari, ils pourraient garder ça pour chez eux, eux qui forment un couple si uni habituellement.
    
    Nous rentrons chez nous, quand je monte les marches de notre perron, le cul de Jacinthe m’inspire, pourquoi un mot que je n’ai jamais prononcé de ma vie me vient à l’esprit.
    
    • Jacinthe, « Péripatéticienne. »
    
    Elle se retourne soulève sa jupe.
    
    • Je suis ta chienne Julien, viens m’arracher ma petite culotte avec tes dents, après, je me mettrais à quatre pattes sur nos marches et tu me baiseras sauvagement, je suis à toi, dépêche, ma chatte coule déjà, viens éteindre le feu qui brûle en moi.
    
    J’ignore pourquoi ma femme, si plein de retenue d’habitude, se comporte comme ça, mais deux minutes après, sa petite culotte gît déchirée sur les marches, ma verge est au fond de sa chatte, je la tiens par les hanches et je lui assène de vigoureux coups de pines.
    
    Merde aux voisins, si elle hurle de plaisir, et dire que l’autre malade croyait que je croyais à ses bobards.
    
    Dernière minute du journal local.
    
    « Coups de feu à l’hôtel de la gare, il était quinze heures quand un mari cocu a surgi dans la chambre où un hypnotiseur avait réussi à attirer une jeune femme à la suite d’un numéro dans un spectacle offert par son patron.
    
    La femme s’en est sortie, elle est à l’hôpital, l’hypnotiseur est mort, le mari cocu a été arrêté et conduit au commissariat.
    
    Plus de renseignements dans le journal de demain. » 
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