Soirée spectacle en amoureux (1)
Datte: 01/11/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: benoixlucel, Source: Xstory
... mouilles ?
— Bah, c’est normal, non ?
— Cochonne !
Pour seule réponse elle me regarde avec un petit sourire et des étincelles dans les yeux.
Nous passons devant le sex-shop au moment où la grille se ferme et les lumières de la vitrine s’éteignent. TROP TARD ! Nous voilà, ma femme avec la chatte trempée et moi avec une gaule d’enfer à la porte... Nous décidons donc de prendre la route du retour.
Nous ne disons trop rien dans la voiture. Dès que nous sommes sur l’autoroute je dégrafe mon pantalon, le baisse avec mon caleçon et sors ma queue archi-tendue.
— J’en peux plus ! Suce-moi, ma chérie...
Comme seule réponse elle passe son bras par-dessus la ceinture, se penche et me gobe la bite. Sa bouche est chaude et très active.
Je l’encourage :
— Oh oui, vas-y ! C’est bon, suce-moi bien, cochonne ! Suce comme une actrice de porno... Ah oui, t’arrête pas.
Je sens la sauce monter ; j’ai bien envie de tout lui mettre dans la bouche sans la prévenir mais elle a horreur de ça, alors par respect je m’y refuse. Le péage approche ; nous allons sortir de l’autoroute. Je la préviens : elle arrête et nous nous réajustons.
Nous traversons la ville, puis il nous reste 10 minutes de route. Je n’ai qu’une envie : la prendre.
— Tu es vraiment une très bonne suceuse de queues, ma chérie.
— De la tienne ! J’aime quand tu prends du plaisir comme ça.
— Tu mouilles ?
— Regarde toi-même...
Je glisse ma main sous sa robe, elle est trempée ; sa chatte est ...
... ouverte, brûlante. Je remets mes mains sur le volant, mais la route va me paraître longue...
Après quelques kilomètres nous longeons une salle des fêtes un peu reculée de la route, mais je distingue bien qu’il n’y a personne. Je mets un coup de volant et j’emprunte le chemin qui va au parking.
— Oups-là ! Tu fais quoi ?
— Je me gare.
— Préviens : j’ai cru que nous allions avoir un accident ! Pourquoi ?
— Tu ne vas pas tarder à le savoir...
Arrivés sur le parking, je serre le frein à main, déverrouille ma ceinture et sors de la voiture comme un diable sort de sa boîte. Je fais le tour de la voiture, j’ouvre la portière de ma femme, mais pas pour cause de galanterie : comme elle a, elle aussi, retiré sa ceinture de sécurité, je la saisis par le bras et la fais sortir de la voiture assez brusquement. Je la tire jusqu’à l’avant. Elle me fait face. Je sens qu’elle veut m’embrasser, alors je la tourne et l’oblige à se plaquer contre le capot. Je retrousse sa robe et lui mets une grosse claque sur la fesse.
Elle se redresse :
— Doucement !
— Tais-toi !
Je lui appuie sur les épaules pour qu’elle reste plaquée contre la tôle. Je sors ma queue. Je plie un peu mes genoux, et dès que je sens l’entrée de sa chatte je pousse un grand coup jusqu’à la garde. Si je bande à mort, elle est trempée, ma cochonne !
Je la pilonne comme un forcené.
Le fait d’être dans la campagne sans personne autour, elle s’abandonne à mes coups de boutoir et gueule littéralement ...