Apprentissage sulfureux (Chap 5 et 6) - Histoires de Sexe

Apprentissage sulfureux (Chap 5 et 6)

... avec un godemiché, qu’elle faisait glisser sur sa fente poilue.

En me voyant, elle ne s’interrompit pas, bien au contraire, elle fit pénétrer le gadget en elle. J’étais éberlué, bloqué comme une cloche avec mon plateau dans les mains.

— Oh, le mignon petit serveur, fit elle en remuant l’objet dans sa grotte secrète.
— Je vous amène le petit déjeuner, Madame. Dis-je, ne sachant que faire.
— Il y a des bananes sur le plateau ? fit la dame
— Heu non, fis je intrigué, ce n’était pas marqué sur la commande.
— J’ai envie d’une grosse banane, insista-t-elle.

A la voir se machiner, je commençais à m’exciter.

— Poses ton plateau sur la table, mon mignon, puis elle ajouta : La tienne fera bien l’affaire.

Je n’en croyais pas mes oreilles, que faisaient les femmes du grand monde ? Je sentis mon sexe se redresser. Je posai le plateau sur la table en marbre. Puis comme j’allais partir :

— T’en vas pas mon mignon, fit-elle, t’as pas fini ton service. Approche, n’aies pas peur

Ne voulant pas de problème avec une VIP, je m’avançai vers le lit. Que me voulait elle ? Je me plantai aux pieds du lit. Mes yeux se posèrent sur la chatte malmenée.

— Tu regardes ma chatte, hum, elle est belle ma chatte. Viens là, fit elle, en tapant à côté d’elle.

Je montai à genoux sur le lit. Sa main valide se coula sur ma braguette.

— Oh le joli membre tendu, fit elle.

Tranquillement elle baissa ma fermeture éclair. Sa main s’insinua dans l’ouverture et se referma sur mon dard ...

... érigé. Elle le tira en dehors du vêtement. Mon meilleur ami, se redressa, fier.

— Hum la jolie banane, fit la dame.

Elle me masturba, un court moment, puis me porta à sa bouche. Elle me regardait dans les yeux avec un regard de vraie salope, alors qu’elle me suçait. Son autre main, s’activait avec détermination à se donner du plaisir.

Elle savait sucer la VIP, au bout de 10 minutes, j’étais au bord de l’explosion. Heureusement la petite dame, commençait à avoir le geste décousu. Elle n’allait pas tarder à s’envoyer en l’air. Car moi, vu son adresse, je n’en pouvais plus. Dans un cri, j’éjaculai dans la bouche vorace. Elle avala tout de moi, la cochonne. Je me vidai à longues coulées. La dame brama, emprise à la jouissance qu’elle voulait se donner.

Je pris un congé rapide. Ma journée n’était pas finie. En reprenant l’ascenseur, je fus stoppé au 3ème. Naomi monta dedans. Elle semblait énervée.

— Qu’y a t il, fis je, ça n’a pas l’air d’aller !
— Il vient de m’arriver un truc, le client du 311. Il m’a reçue à poil, le truc en l’air. Il m’a chopée, et a voulu me la mettre. Je lui ai mis ma main dans la gueule, et mon genou où tu penses. Je vais de ce pas me plaindre au dragon.
— Calmes toi Naomi, tu es si jolie quand tu souris. Par contre, tu as raison. Parles-en à la vieille chouette.
— Ok, t’as raison, quel sale type !!!
— Si tu veux te remettre de tes émotions, viens faire un câlin ce soir.
— Tu ferais cela ?
— Tu es mon amie !
— On verra, fit Naomi, mais ...