1. Un fil rouge pour Joëlle [Partie B] (1)


    Datte: 31/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Badwell, Source: Xstory

    ... sien en le retenant pas les épaules, lui donne un baiser dans le cou, puis :
    
    – Vous me devez encore une enveloppe cher ange !
    
    Joëlle tourne sur elle, et presque collée à lui, la glisse dans sa main.
    
    – Franck y a écrit un mot à votre attention.
    
    Christian s’écarte, ouvre le pli ; il hume la culotte, partout et à l’entrejambe…
    
    – Vous l’avez ôtée il y a peu de temps, coquine ! C’est en pensant à moi que vous l’avez mouillée ?
    
    – Ça doit être ça…
    
    – Oui ou non ? tonne Christian !
    
    – Oui, …cet instant me trouble depuis ce matin » susurre Joëlle
    
    — Moi je vois qu’il vous fait mouiller comme une salope et je m’en réjouis pour la réussite de notre après-midi.
    
    Puis il lit le mot, l’œil qui frise, un sourire à la commissure des lèvres.
    
    – L’avez-vous lu ?
    
    – Non, Christian
    
    – Voulez-vous que je vous le lise ?
    
    –Je n’en suis pas sûre…
    
    – Il fallait répondre non ! donc je vous le lis vous n’avez plus le choix : - Recevez bien Joëlle, et occupez vous bien de ses 4 rondeurs, de ses trois boutons accélérateurs et de ses trois orifices accueillants -
    
    Il lui lit ces mots de mémoire, en la dévisageant de la tête aux pieds avec insistance.
    
    Joëlle est un peu paniquée de la crudité des termes de Franck, mais à la fois c’est son mari qui lui donne carte blanche pour s’abandonner ! Christian lui propose la même place dans le canapé et elle sait qu’elle va se retrouver retroussée, mais elle ne rectifie pas la position cette fois-ci, ne cherchant pas à ...
    ... vérifier ce qu’elle exhibe à son hôte installé face à elle et qui la surplombe, le regard juste dans l’alignement de ses cuisses.
    
    Il propose un café et réclame à la cantonade : pourriez-vous nous apporter deux cafés, je vous prie ce serait très gentil. On entend la secrétaire s’affairer, mais c’est un arabe, genre kabyle, la trentaine, baraqué et beau gosse qui apporte le plateau.
    
    – Je vous présente Karim qui est mon assistant très fidèle tous les jeudis ; Karim, voici la fameuse Joëlle, vous l’avais-je correctement décrite ? »
    
    – Tout ce que je vois là est parfaitement conforme, Monsieur, et il pose le plateau sur la table basse, les yeux à trente centimètres des cuisses gainées de fine dentelle.
    
    Les présentations sont faites et fort peu ambigües…
    
    – Karim, pouvez-vous prendre ceci en photo pour mes archives ? ordonne Christian, lui remettant la culotte rouge et le mot de Franck.
    
    Joëlle voit bien que l’assistant, très méticuleux, renifle à son tour le slip et s’imprègne des odeurs de sa propre intimité. Ces deux-là sont bien de connivence pense-t-elle… Espère-t-elle ?
    
    Christian ne se cache pas de reluquer les jambes et les cuisses de sa visiteuse. N’y tenant plus, il s’approche d’elle, défait le bouton de la veste et la retire en disant « Ces locaux sont trop chauffés ». Il se rassied en matant sa proie de la pointe des seins au triangle sombre entre ses genoux. Le spot du plafond éclaire très justement le buste de Joëlle déshabillant quasiment sa poitrine et ...
«12...456...9»