Séjour au camping naturiste - Histoires de Sexe

Séjour au camping naturiste

... libre, j’avais saisi ma queue. Je frottais mon gland le long de sa fente humide.

-	Mag, je comprendrais si tu veux arrêter après il sera trop tard.
-	Non Chris, continues. On est allé trop loin pour s’arrêter maintenant.  Je te veux en moi.

Je continuais à frotter mon gland sur sa fente pour bien l’enduire de cyprine. Je ne voulais surtout pas lui faire mal. J’avais introduis le plus lentement possible mon gland à l’entrée de son vagin sans toucher son hymen . Magalie avait posé une main sur mon ventre pour me repousser légèrement. Je l’avais embrasser sur la bouche pour la rassurer.

Je savais que si je poussais un peu plus fort, mon gland rentrerait en contact avec son hymen. Je faisais coulisser mon gland à l’entrée de son vagin. Magalie poussait un petit gémissement dès que mon gland touchait don hymen.

-	Vas-y , Chris. Entres en moi.
-	Embrasses-moi, Mag.

J’avais mes yeux plongés dans les siens. J’avais appuyé un coup de reins ; ce qui m’avait fait franchir sa fine barrière de chair. Malgré nos bouches collées l’une à l’autre, Magalie avait poussé un cri. Je venais de faire de ma petite sœur une femme.

Je lui donnais de légers coups de reins pour entrer en elle plus profondément à chaque fois. J’avais un peu de mal à me glisser en elle car elle était crispée. Je voyais de petites larmes couler le long de ses joues. Je les avais essuyé du bout de mes doigts.

-	Ça fait mal, Chris.
-	Si je m’arrête tu vas avoir un peu plus mal. Ça va vite ...

... passer, Mag.
-	Je te fais confiance.
-	Tu es une femme maintenant, ma belle.
-	Mais, on a pas fini, Chris.  Il faut encore qu’on jouisse tous les 2.

Notre petite discussion avait permis à Magalie de se décontracter. Au fur et à mesure de mes coups de reins, j’étais arrivé à mettre presque toute ma queue en elle. Je sentais les contractions de son vagin autour de ma queue. Nous continuions à nous embrasser pour atténuer nos gémissements de plaisir.

J’alternais les coups de reins lents et rapides dans l’antre de ma sœur. Le temps semblait comme suspendu. J’aurais voulu que ce moment dure toute l’éternité. Mais mon excitation avait pris le pas. Le temps pour moi de jouir était tout proche.

-	Oh Chris c’est trop bon mmm. Accélères fais moi jouir aaaah
-	Je vais te rejoindre, Mag…. Mmmm Je vais jouir.
-	JE T’AIIIME CHRIS OUIIIII

Je ne m’attendais à ce qu’elle crie ses moments au moment de jouir. Je l’avais suivi de peu. J’avais joui en elle. Mon sperme s’était répandu en elle par saccades. J’avais continué à bouger en elle encore quelques secondes avant de sortir de son vagin et de m’allonger près d’elle.

-	Je n’ai pas me retenir de crier quand j’ai joui, Chris. J’espère que personne ne m’a entendu.
-	Ne t’en fait pas, Mag. Je n’avais jamais joui autant avec une femme avant toi.

Nous avions mis un peu de temps avant de reprendre nos esprits.

-	On m’avait dit que ça pouvait être douloureux au début. Mais comme tu as été doux, ça c’est bien passé.  Merci , ...