Séjour au camping naturiste - Partie 1 - Histoires de Sexe

Séjour au camping naturiste - Partie 1

... se dirigeaient petit à petit vers le camping. Soudainement, un éclair avait zébré le ciel et le tonnerre avait retentit juste quelques secondes après. En suivant, les premières gouttes commençaient à tomber fortement sur le toit du bâtiment sous lequel nous nous étions abrités.

-	Je commence à avoir un peu froid, Chris. Il vaudrait mieux qu’on rentre sous la tente, dit Magalie.
-	On n’a pas de l’orage, dirent en cœur Léa et Ludivine.
-	On fait la course vers les tentes ? Lançais-je en souriant.

Un nouvel éclair avait apparu dans le ciel. Les filles ne semblaient pas à l’aise. On s’étaient donc mis à courir pour aller s’abriter sous les tentes.

Magalie m’avait devancé et s’était mise dans son duvet. Elle avait enfilé un t-shirt pour se tenir un peu plus chaud. La pluie semblait redoubler ainsi que les éclairs. Magalie s’était blottie contre moi. Je l’avais repoussé un instant pour que  je puisse mettre mon boxer et un t-shirt.

-	Je n’aime pas l’orage, Chris. Ça n’a risque rien que l’on soit sous une tente ?
-	Non, Mag. Il n’y a pas d’arbres à proximité et il n’y a rien de métallique autour de nous.
-	Heureusement que tu es là pour me rassurer, Chris.
-	C’est mon rôle de grand frère,  non ?

Sur ma dernière question,  j’avais entendu crier Léa et Ludivine devant notre tente.

-	Laissez-nous entrer, notre tente prend l’eau !!!

J’avais ouvert la tente et les 2 filles s’etaient engouffrées dans notre tente avec leurs affaires.  Elles avaient eu le ...

... temps de mettre une culotte et un t-shirt avant de nous rejoindre.  Nous étions serrés à 4 dans une tente prévue pour 2 personnes.

-	Merci, cousin. On n’a pas peur de l’orage mais on allait finir toutes les 2 trempées avec ce qui tombe.
-	Vous serez au sec ici.

Les éclairs zébraient le ciel de toute part. Le tonnerre résonnait tout autour de nous. Magalie se collait contre moi pour se rassurer.

-	Tu as peur de l’orage ? Lui demanda Ludivine.
-	Oui, surtout que je ne suis pas dans une maison à l’abri.
-	Ne t’inquiètes pas, Mag. On est tous les 3 avec toi. Ça ne va pas durer des heures, lui dit Léa pour la rassurer.

Les éclairs et le tonnerre semblaient s’éloigner petit à petit mais la pluie était toujours présente. On s’était collé les uns contre les autres pour pouvoir rentrer tous sous la tente. Léa était à ma gauche, Magalie était à côté de moi et enfin Ludivine était à côté de sa cousine.

Tout à coup, j’avais senti une main se glisser dans mon boxer. C’était celle de Léa. Elle caressait, délicatement du bout de ses doigts, mes boules et ma queue. Je ne pouvais pas m'empêcher de bander. Je m’étais allongé sur le côté afin que personne ne puisse se rendre compte des mouvements de sa main sur ma queue. 

Je tentais de m’empêcher de gémir. Ses caresses me faisaient du bien. Les autres filles s’étaient assoupis malgré le bruit de pluie qui tombait sur la tente.
Léa m’avait chuchoté au creux de l’oreille :

-	On dirait que tu aimes ce que je te fais, ...