1. Soumission en vacances 8 - La soumise


    Datte: 31/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Primaq69, Source: Hds

    Partie 8 – La soumise
    
    Nous venions de finir de manger. Un petit plat de tomates-mozzarella pour elle, une orgie de pâtes à la carbonara pour moi. C’est bien gentil les crudités, mais vu ma matinée j’avais besoin de reprendre des forces. Notre conversation pendant la cuisine et le repas était tout ce qu’il y a de plus banale.
    
    Léa racontait des anecdotes de son boulot, je me moquais gentiment d’elle et de ses ragots, on riait… Bref, les 4 dernières heures semblaient être à des années-lumière.
    
    Enfin, disons que les séquelles était plus similaire à de vagues souvenirs raisonnants qu’a une réelle douleur localisée. Parce que soyons honnête, 2h de torture et de jouissance ça passe pas non plus en un claquement de doigt. C’est bien pour ça que, quand Léa me proposa de me masser pour m’aider à récupérer de la matinée, je n’hésitais pas bien longtemps. Après notre baignade, elle avait enfilé une petite jupe d’été très sexy et un top un peu moulant qui l’était tout autant.
    
    Je m’allongeais sur le ventre sur un transat, en caleçon, pour qu’elle ait accès à mon dos. Je gardais mes mains sous mon visage de manière à ce qu’elle ne puisse pas me feinter et me les attacher avant que j’aie pu mettre mon plan à exécution. Elle me versa de l’huile parfumée sur le dos et commença à me masser sensuellement le dos, les jambes, les cuisses, les fesses… c’était divin comme traitement.
    
    Après 15 minutes, je lui proposais d’inverser les rôles. Elle accepta avec plaisir. Elle s’allongea à ...
    ... son tour, enleva son haut (sous lequel elle était nue). Elle portait pour tout vêtements une jupe relevée jusqu’en dessous des fesses et son bracelet de cheville en argent qui ne la quittait jamais.
    
    A mon tour, je versais de l’huile sur son dos et commença à la masser, rendant son corps luisant et terriblement sexy. Après 10 minutes de ce traitement, je passais à l’action.
    
    Sous prétexte de lui masser la main, je lui fis relever le bras vers l’arrière et, après quelques minutes, je la reposais sur sa fesse. Détendue comme elle était, elle ne la bougea pas. Je fis de même avec le bras opposé.
    
    Je marquai l’arrêt. Hésita une seconde. Juste une seconde. Puis je lui enfermais les poignets avec ses menottes.
    
    Elle mit une bonne dizaine de secondes à comprendre ce que signifiait ce son. Subitement, elle releva la tête pour s’opposer à la situation.
    
    - « Eh non mais tu fais quoi là ? On n’a jamais dit que tummmmfh… »
    
    Elle n’avait pas eu le temps de finir sa phrase. Après avoir verrouillé les menottes, j’avais sorti le bâillon-boule que j’avais planqué sous le transat et avait attendu patiemment qu’elle ouvre la bouche pour la réduire au silence.
    
    Elle était à moi pour l’après-midi.
    
    Volontairement, je restais hors de son champ de vision. J’étais encore très influencé par ma matinée et j’avais peur de ne pas tenir mon rôle si je croisais son regard sévère. Je lui attachai les chevilles ensemble pour m’assurer de pouvoir prendre mon temps : maintenant, elle n’allait ...
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