LE DÉFI DE MON MARI ( partie 1 ) - Histoires de Sexe

LE DÉFI DE MON MARI ( partie 1 )

... affairée à remplir les frigos de bouteilles d'eau. Je m'avance vers le caissier je prend un paquet de chewing-gum à la menthe et sort un billet de cinquante euro.

— Désoles vous n'auriez pas un billet moins gros, je n'est pas suffisamment dans ma caisse pour vous rendre la monnaie.

Je lui lance mon plus beau sourire et doucement comme en confidence je lui glisse a l'oreille :

— C'est pour enlever le goût des bites des mecs que je dois de sucer aujourd'hui, les spermes n'ont pas toujours très bon goût. Par contre je suis sur que le tien doit être sucré a souhaits.

Il devient tout rouge et bégaye quelques mots incompréhensibles.

— Si tu a une pose je serais ravie de vérifier.

Sans dire un mot il hoche la tête.

— Sabrina tu prend la caisse je vais en réserve fumer une cigarette.

Et il me dit doucement de passer derrière et qu'il m'y rejoindra tout de suite.

Je sort et fais le tour de la boutique, j'attends devant la porte de service qui ne tarde pas à s'ouvrir. Il m'affirme que sa collègue ne peut pas quitter son poste et qu'on ...

... sera tranquille.

J'entre dans une pièce encombrée de palettes, de cartons et de bouteilles, je lui explique pour la photo et lui tend mon portable et sans perdre de temps je baisse directement sont bermuda. Sous son ventre proéminent une broussaille de poils et au milieu un petit appendice dépasse. Je prend un carton vide le pose au sol en me met à genoux devant lui. Je le caresse sa queue, ses bourses pour le mettre en forme et la j'ouvre doucement mes lèvres. Je commence mes caresses buccales, lui place une main sur mes cheveux et timidement l'autre sur un de mes sein. Je sort mes nichons de ma robe pour lui faciliter la tache et reprend mon pompage de plus belle. Je retire sa bite et lui demande de faire ma photo et la reprend en bouche.

Au bout d'une dizaine de minute j'accélère et ce qui devait arriver arriva , je sent ses mains qui se crispent sur mes seins et il déverse dans ma bouche une énorme quantité de foutre chaud tellement que je suis obligée d'en déglutir plusieurs gorgées pour ne pas en avoir sur ma robe.

— Voilà pour le troisième!