Le fils du libraire ((8) - Histoires de Sexe

Le fils du libraire ((8)

... saucisse comme une bite le regard vide.
-Allons mets un peu d'enthousiasme quand tu lèches. Il a fixé la fille. Montre lui.
Elle l'a empoigné à pleine main pour faire aller et venir la saucisse dans sa bouche, la sortant pour lécher le bout. De la sauce coulait sur ses doigts et son menton. Karim a côté en a récupéré pour en passer sur les pointes de ses tétons. Sensible à ça elle n'a pas retenu un gémissement qui les a fait sourire.
J'ai fait à peu près comme elle, la saucisse me glissait des mains et je bavais, mêlant la sauce à ma bave.
-Vous êtes vraiment des salopes . Nous on mange ça se refroidit. Quand il n'y aura plus de sauce sur votre saucisse trempez là dans votre assiette.
J'étais content car je voyais le pantalon de Bastien gonfler et j'aimais sa queue autant que ses envies de me dominer. Ils mangeaient nous on suçaient , trempant de temps en temps la saucisse dans la sauce qui se figeait et nous laissait du gras sur les lèvres. Quand ils ont fini  on a pu croquer la saucisse et lécher l'assiette avec le cassoulet, nous barbouillant encore plus.
-Slim  , tu peux visser encore un peu pour étirer ses couilles?
 -Un plaisir. 
Il a bougé ma chaise et j'ai couiné, ça devenait douloureux.
-Je les ai mise a cinq centimètres  et il a la queue raide et droite ton bâtard.
-T'inquiètes il adore la douleur que je lui impose. N'es ce pas Cul?
Oui maître j'aime ce que vous aimez.
-Nous allons passer au salon ou vous allez pouvoir tous les deux glisser vos lèvres ...

... sur nos queues. Elles sont grasses à souhait.
 Cette fois la nuit était tombée et ils ont eux même ôtés leurs pantalons et leurs sous-vêtements avant de tendre l'objet  de nos désirs. J'ai de suite été me mettre entre les cuisses de Bastien et j'ai commencé à sucer. En venant au salon mes couilles tendues ballotaient entre mes cuisses. La fille dont je ne savais toujours pas la nom s'est mise entre les cuisses de Karim et on ne s'est plus vu , occupé tous les deux. Ils grognaient mais résistaient à donner ce que nous voulions, leur sperme.
Slim, resté habillé a pris un fouet à plusieurs lanières pour alterner les coups sur nos fesses les faisant rougir. Cela faisait un moment et rien ne venait si ce n'était les coups dont quelques-uns me faisaient gueuler, atterrissant sur mes couilles. Le carillon de la porte a sonné. Je me suis dégagé mais Bastien m'a retenu. 
-Suce et tais toi.

Selim était allé ouvrir et a fait entrer un homme jeune nu portant juste un collier, tenu en laisse par une femme toute en latex brillant.
-Bonjour, j'ai vu la lumière et j'ai pensé que venir vous voir allait plaire à mon mari.
Lui n'était pas fier, longue bite mais pendante, couilles prises dans des colliers brillants sans doute lourds. Tête basse. Pas un poil comme nous. On devinait l'homme abandonné au désirs de sa femme.
-A quatre pattes le chien! Va renifler le cul de ces deux chiennes.
Tout en suçant j'ai senti une tête entre mes fesses et la langue lécher mon trou. Il devait être ...