1. Business Meeting (7)


    Datte: 30/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: NuggetTender, Source: Xstory

    ... un nouveau message : " Tu me manques. Je rentre ce soir chez ma mère. Elle part tout le week-end et je serai seule dans une grande maison froide. Ça te dirait de me tenir compagnie ? Nous avons un grand feu ouvert ;) ".
    
    Soudain, plus aucune question dans mon esprit, une seule certitude. Dire oui : " Comment pourrais-je refuser une proposition aussi alléchante ? Passer tout un week-end, rien qu’avec toi, c’est oui ! Je t’ai déjà dit que j’allumais particulièrement bien le feu ? :p "
    
    Sa réponse ne se fit pas attendre non plus : " Tu n’imagines pas comme ça me fait plaisir. Je t’envoie l’adresse tout de suite. Quant au feu, si tu l’allumes aussi bien que moi, il faudrait peut-être que je prévienne les pompiers... :D "
    
    C’est fou la vitesse à laquelle mes cours passèrent ce jour-là.
    
    Le lendemain, une fois la matinée de classe passée, je pris donc ma valise et me rendit à la gare pour rejoindre Gladys chez elle. Je passai l’heure de train entre ses anciens messages et les quelques photos de nous, pas toujours très sages. Je me réjouissais de la retrouver dans un autre environnement, de voir où elle avait grandi, de découvrir sa chambre, le salon où elle jouait petite, son jardin, etc. Comme convenu, je l’appelai une fois à la gare. Elle arriva un quart d’heure plus tard et me conduisit à travers un petit village pittoresque jusqu’à la maison de ses parents. Plus précisément, celle de sa mère ; ses parents étant divorcés depuis quelques années.
    
    Je ne m’attendais pas à ...
    ... une telle demeure ! Une grande ferme à l’ancienne, rénovée avec goût. Je me serais cru dans un magazine de décoration, ou d’architecture. Gladys passa près d’une heure à me montrer la propriété, à m’expliquer mille et une anecdotes d’une pièce à l’autre, à me défier de lui faire l’amour dans tel ou tel endroit. J’avais l’impression qu’elle me dictait le menu de notre week-end "en amoureux". Tout à coup, alors que nous nous dirigions vers la cuisine, Gladys s’arrêta net.
    
    — Merde, lança-t-elle. Non, putain, non.
    
    — Quoi ? lui demandai-je inquiet. Il y a quelque chose qui ne va pas ?
    
    — La voiture, me répondit-elle simplement.
    
    — La voiture ? Quelle voiture ? Celle avec laquelle tu es venue me chercher ? Il y a un problème ?
    
    — Non ! Tu n’entends pas la voiture ?
    
    Effectivement, le bruit d’un moteur se faisait de plus en plus clair au fur et à mesure que l’auto remontait la longue allée privée menant à la demeure familiale.
    
    — Putain non ! C’est une blague ? lâcha-t-elle, visiblement furieuse.
    
    Gladys ouvrit violemment la porte de la cuisine donnant sur les garages. Je lui emboîtai le pas et découvrit, en sortant, qu’une berline allemande venait de s’immobiliser à côté de la maison. Une femme brune, la quarantaine, cheveux mi-longs ondulants, en sortit, directement rejointe par Gladys, visiblement toujours sous le coup de la colère.
    
    — Mais tu fais quoi, là ? demanda-t-elle à la femme.
    
    — Gladys, tu peux me parler autrement, s’il te plaît ?
    
    — T’étais pas ...
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