1. Le musée


    Datte: 07/11/2022, Catégories: Gay Vos histoires Auteur: prune, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... surveille les opérations de prêt, et n’arrête pas de susurrer des mots crus à l’oreille de salope à bite tout en la masturbant. Sollicitée par les trois Lesbiens surexcités, bien loin de demander grâce, elle en redemande et souhaite ardemment d’être dérouillé par bite de fer. L’étalon écarte d’une main saucisse fougueuse pour couvrir la pute et enfourne son épieu puissant dans le trou du cul de la lope qui est suffisamment élargi par les deux tantes.  Cependant, saucisse fougueuse excitée à son comble, décharge sur le visage de salope à bite, tandis que bouche ardente décharge à son tour dans la gueule gourmande de celle-ci. Les coups de boutoirs réguliers de bite de fer, la mettent en transe. Le foutre des éjaculations dégoûte de la bouche ouverte et du visage et la tarlouse et les yeux révulsés, elle exprime une jouissance qui devient extase quand bite de fer augmente la cadence de ramonage. Les deux tapettes sur un côté encore excitées continuent de se caresser espérant renflouer leur sac à foutre, pour baiser encore la pute. Bite de fer qui a les bourses d’un taureau, pouvait décharger longtemps avant qu’il soit vide, aussi lâche-t-il sa purée dans le trou du cul de la salope tous les quarts d’heure. Le foutre dégorge et bave sur les breloques de la pédale et dégoûte sur celle de bite de fer, qui lui bat son cul ardent, cela la surexcite, électrise son corps de femelle, la fait vibrer de la tête aux pieds comme un vibromasseur. Elle ronronne comme une chatte en ...
    ... chaleur, bourdonne, feule, râle de plaisir. Le maître et l’esclave ne font plus qu’un. Bite de fer en étalon expérimenté, pouvait polir sa partenaire pendant une heure, en déchargeant plusieurs fois sans se vider complètement, car il considérait que son esclave devait trouver sa jouissance totale pour qu’il puisse lui aussi être satisfait. Son esclave a des jouissances régulières et n’est plus qu’un corps orgasmique. Le maître enserra son corps. Il sent sous ses bras le flux vibratoire de la pute complètement soumis à son maître et il décharge son foutre sans faiblir. La salope en redemande par des petits cris de chatte soumise. Son cul déborde de foutre, sa bouche demande une bite que s’empresse de remplir bouche ardente qui a les couilles pleines de nouveau. Saucisse fougueuse de nouveau opérationnelle s’empresse de prendre la place de bite de fer qui doit refaire le plein. Puis les deux tantes déchargent en même temps. Rompues de plaisir, elles vont s’asseoir à côté de l’étalon qui se rechargeait lentement. Tous les trois regardent leur possession qui restait à quatre pattes toute dégoulinante, épuisée. Le maître va chercher son esclave, le prend dans ses bras, se rassit et le place sur ses genoux. 
    — C’est t’y pas mignon ça, hein les tarlouses. On dirait une jeune femelle qui attend son câlin du soir. Je vais te renommer ma chérie. Poupée Docile, ça te va comme un gant et tu es tellement mignonne que je baiserai encore sur-le-champ.
    Mais la porte s’ouvrit et la folle, leur ...