Un café... crème
Datte: 30/10/2018,
Catégories:
fffh,
Collègues / Travail
strip,
Oral
nopéné,
Humour
Auteur: Petibonum, Source: Revebebe
Un café… crème.
Ma femme, Joëlle, est infirmière à domicile. Elle travaille ainsi le matin, de 6 h 30 à 13 h 30, puis, après une pause bien méritée, reprend vers 17 h 30, jusqu’aux environs de 20 h 00.
Avec ses collègues, elles se retrouvent parfois chez les unes, chez les autres, soit pour déjeuner ensemble, soit pour simplement échanger quelques mots autour d’un café, histoire de passer agréablement le temps durant cette fameuse pause, trop souvent destinée par ailleurs à faire les courses pour les besoins du ménage.
Le jour où m’est arrivée cette histoire extraordinaire, et que je n’aurais jamais imaginée, sauf peut-être dans un coin très caché de mon subconscient, j’avais pris une journée de RTT, parce que j’avais diverses bricoles à faire à la maison. Les enfants étant à l’école pour la journée, j’étais assez satisfait de ma matinée et avais préparé le déjeuner pour le retour de Joëlle. Au moment du dessert, le téléphone sonne. C’est Nathalie, une de ses collègues, qui lui demande si, avec Nicole une autre collègue, elles peuvent venir passer pour le café.
— Pas de souci, nous allions justement le prendre avec Thierry (c’est moi), nous vous attendons.
— Désolée, je ne savais pas qu’il était là, nous ne voulons pas te déranger, ce sera pour une prochaine fois.
— Non, non, vraiment, ça ne nous dérange pas, on vous attend.
Joëlle ne m’avait pas vraiment demandé mon avis, mais ça ne me gênait pas, bien au contraire, Nicole et Nathalie sont probablement les ...
... deux collègues les plus mignonnes de ma femme, et je ne les avais pas vues depuis un certain temps.
Les voilà donc qui sonnent, quelques minutes plus tard. Échange de bises traditionnel et à nouveau petit couplet sur les excuses et le « on ne voulait pas vous déranger ». Je remarque qu’avec les premiers rayons de soleil de cette fin du mois d’avril, les collants ont disparu et qu’elles sont jambes nues, Nathalie a même des chaussures ouvertes qui laissent apparaître ses orteils vernis, ce qui me plaît toujours énormément chez une femme.
Pendant qu’elles s’installent au salon, Nicole et Nathalie sur le canapé et Joëlle dans un fauteuil, je propose de préparer le café, ce qu’elles acceptent, commençant déjà à parler de tout et de rien, sans plus se préoccuper de moi. De la cuisine, je les entends évoquer l’état de santé de leurs patients, mais ça n’a pas l’air trop grave, car la conversation est souvent ponctuée de rires.
Pendant que le café passe, je décide de faire un peu de présentation, un plateau, des tasses, pas de sucre car elles n’en prennent pas, mais je n’oublie pas les petits carrés de chocolat, toujours appréciés.
Ma présentation fait effet, car j’ai le droit à un compliment poli de Nicole :
— Félicitations, Thierry, une serveuse n’aurait pas fait mieux.
Et c’est alors que l’histoire, jusqu’à présent classique, commence à basculer dans l’extraordinaire, car, sans vraiment comprendre ce qui se passe, j’entends Nathalie qui enchaîne :
— C’est vrai, ...