1. Le début d'une obsession (1)


    Datte: 30/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Emmaniolia, Source: Xstory

    ... fait plus d’effet que de pouvoir le constater uniquement visuellement. Ce qui me donna envie de plus, j’exprimais alors mon envie de me faire baiser. Cela aurait marché s’il n’y avait eu que Jean, mais il y avait Mathieu. Celui-ci me répondit :
    
    — tu veux qu’on te baise ?
    
    Je ne dis rien.
    
    — Tu veux qu’on te baise salope ?
    
    — Oui, répondis-je.
    
    — Oui quoi ?
    
    — Oui, je veux que vous me baisiez... dis-je, toute penaude.
    
    Ils se regardèrent, Mathieu mit un préservatif puis décida de me mettre à 4 pattes pour me prendre en levrette. Il s’inséra en moi tandis que je suçais Jean, j’entendais ses couilles claquer contre mon cul, mes bruits de succion autour de la queue de Jean et surtout, je me sentais pleine. En effet, Mathieu était un peu plus large que Jean, et qu’est-ce que c’était bon, putain ! (C’est d’ailleurs ce jour-là que j’ai découvert que ce n’était pas la taille en longueur qui comptait, mais la largeur).
    
    Mathieu accéléra la cadence, accélérant le rythme de mes gémissements et leurs puissances. J’avais envie que jamais il ne s’arrête, qu’il me baise partout : sur le canapé, contre l’évier, sur un lit, dans l’ascenseur... Mais il faut l’avouer, ma pipe ne valait plus grand-chose...
    
    Les garçons échangèrent leur place afin de se reposer sans me laisser le moindre répit, et ce manège dura bien 20 minutes.
    
    20 minutes à pomper deux queues,
    
    20 minutes à me faire labourer sans ménagement,
    
    20 minutes à me faire fesser avec force,
    
    20 minutes à ...
    ... gémir de plaisir, formant un magnifique trio...
    
    Puis ils décidèrent de regarder mon anus, le pauvre, lui qui n’avait rien demandé...
    
    Jean le lécha avidement, je sentais sa petite langue essayer de s’introduire toujours plus profondément, dessinant tantôt des cercles, tantôt fendant tous les obstacles pour arriver à creuser un passage, si je puis dire. Puis, il réitéra l’opération avec ses doigts...
    
    Ma chatte se liquéfiait dans tous les sens du terme, mais toute cette préparation n’était pas pour lui... Non, elle était pour la fameuse, PLUS GROSSE bite de Mathieu...
    
    On ne va pas s’attarder sur l’échec cuisant que fut cet essai de pénétration, je le qualifierai juste de « piquant ».
    
    Une fois remise de mes émotions, Mathieu approcha ses lèvres des miennes, les effleurant... sans jamais les toucher... la tension sexuelle avait regrimpé. J’essayais en vain de les écraser sous le poids des miennes, haletant de plus en plus vite, mais il finissait toujours par s’échapper. A présent, je le suppliais de m’embrasser, mais celui-ci me répondit que je n’y aurais pas droit immédiatement.
    
    Jean, dans son coin, s’en amusa bien, moi qui tant de fois l’avais branlé et m’étais arrêtée juste avant qu’il jouisse...
    
    Ce désir non satisfait me poussait à accepter chacune des choses orchestrées par Mathieu :
    
    — Sucer plus profondément jusqu’à en avoir les larmes aux yeux et des remontées acides.
    
    — Réclamer des fessées toujours plus fortes, jusqu’à ce que mon cul en devienne, ...