Thomas et son père (5)
Datte: 30/10/2018,
Catégories:
Gay
Auteur: yphos, Source: Xstory
... n’empêche pas l’autre... Mais, si c’est que tu souhaites, je ne te harcèlerai plus, c’est promis ! Je serai là, si tu as besoin de moi.
— Mais qu’est-ce qu’il t’arrive ? Pourquoi as-tu cet intérêt soudain pour moi ?
— L’autre jour, quand je t’ai massé le dos, j’ai eu une sorte de révélation. J’adorais toucher ton corps et me suis mis à rêver et à bander. Plus tard, quand tu t’es endormi sur le canapé, j’ai voulu en profiter pour voir ton zizi, et même le toucher.
(Évidemment, j’occulte le fait de l’avoir déjà vu, incidemment, en le matant quand il se godait le cul).
— Et tu l’as fait ! Je l’ai bien senti, je ne dormais qu’à moitié. Tu as écarté mon peignoir et tu m’as touché la bite.
— Et tu ... Tu m’as quand même laissé faire ?
— Oui, c’était agréable au début, mais j’ai réalisé que c’était inconvenant, qu’il fallait arrêter tout de suite. Sur le moment, ça m’a beaucoup troublé, je l’avoue !
Après, le démon m’a repris, quand tu portais ce petit short coquin. Je louchais sur tes fesses.
A un moment, quand tu t’es penchée, j’ai remarqué que tu portais une culotte de ta mère. C’était pour me provoquer, n’est-ce pas ?
— Ben ... Oui ...
— Tu n’es pas obligé de t’habiller en fille pour ça.
— J’avoue que ça me plaît, c’est différent ...
— Je préfèrerais que tu restes un garçon.
— Si tu veux ... Mais tu me feras quand même l’amour ?
— Non, il vaut mieux arrêter ça. Ne cherche plus à m’embrasser non plus.
Au fond de moi, ça m’énerve ...
... qu’il change d’avis sans arrêt. Je crois toujours que c’est gagné, que nous allons être amants au quotidien. Mais non ! Il en arrive à être rabat-joie et à éteindre mes pulsions par ses remords absurdes.
Les jours suivants, il est plutôt distant. Il veut reprendre son rôle de père et se force à se comporter comme tel.
Toutefois, avec les jours qui passent, sa morosité revient et il recommence ses allusions coupables vis-à-vis de maman. Il se reproche à nouveau de l’avoir laissée partir, le jour de son accident mortel. Il me rabroue quand je tente de le raisonner à ce sujet. Il me repousse quand je veux lui faire un câlin.
J’en ai plus qu’assez de cette situation !
Alors s’installe en moi une forme de mélancolie, voire un début de déprime.
J’ai la tête ailleurs et certains profs du bahut m’en font même la remarque.
A la maison, je deviens de plus en plus bougon et grognon.
J’en veux à mon père de me délaisser. Même si j’ai conscience qu’il souhaite rétablir de la normalité dans la maison, je n’arrive pas à l’accepter. Je regrette de lui avoir promis de ne plus le harceler.
Il ne me regarde plus avec désir ou envie, mais trop paternellement !
Il semble vouloir effacer de sa mémoire nos relations si intimes.
Il me manque ! Surtout sa bite ! J’aimerais tant la sentir en moi, pour qu’il me fourre comme il faut
.
D’autres jours passent ...
Ce vendredi, en début de soirée, je rentre à la maison d’une humeur très noire et grogne un « salut » à mon ...