1. Un stage bien mérité (3)


    Datte: 29/10/2018, Catégories: Gay Auteur: ptitcul, Source: Xstory

    Il lâcha son sexe, prit son lubrifiant, et il m’en mit directement sur la rondelle. Le contact du chaud-froid dû au gel froid qui tomba sur mes fesses chauffées par la délicieuse fessée que je venais de prendre me fit sursauter et je sentis rapidement ses doigts me caresser en décrivant des cercles à la surface de mon entrée cachée. Je me surpris à apprécier avec un gémissement qui venait du cœur qui se transforma en « oui » long et suave quand il inséra un doigt. Il continua quelques allers-retours que j’appréciais en fermant les yeux et en tendant les fesses pour lui montrer aussi mon envie que cette fois, autre chose qu’un doigt entre en moi. Il en mit rapidement un second, là, je sentis mon entrée secrète s’étirer sous la pression et mes poings se fermèrent sous la vague de plaisir qui partait de mes fesses pour descendre vers mes jambes et remonter le long de mon dos.
    
    Il augmenta la vitesse d’aller-retour et ma bouche ne put réprimer les gémissements qui sortaient sous la sensation très agréable.
    
    — J’aime vraiment que tu sois sensible à ce point à la pénétration, on s’est bien rencontré tous les deux.
    
    J’étais tout à fait d’accord, souriant après cette phrase. Sur quoi il retira ses doigts, me laissant au bord de la jouissance, après la branlette durant la fessée et ce doigtage en règle ayant une sensation d’air frais rentrant dans mes fesses. Je me retournai pour le voir étaler du lubrifiant sur sa magnifique bite. Je me mordis la lèvre inférieure en la ...
    ... fixant puis mon regard se leva et je vis qu’il me regardait : « t’as l’air d’avoir le feu au cul, ma salope », je fis oui de la tête, « J’ai une grosse lance à incendie, là pour toi, tu vas voir » dit-il, finissant de lubrifier sa bite. Il tourna son regard vers mon arrière-train, il posa une main sur ma fesse et je sentis enfin son gland toucher mon petit cul. Il le fit frotter de bas en haut doucement, lentement en me regardant et me souriant puis il s’arrêta la tête de l’engin, appuyant sur mon entrée arrière, et là, je me retournai vers le bureau pour me détendre, m’attendant à une pénétration subite, sûrement douloureuse au début.
    
    Mais pas du tout, il entra doucement, sans marquer d’arrêt, mais la préparation, la lubrification et l’envie folle de me faire prendre qui m’habitaient lui ouvraient le passage naturellement comme une épée rentre dans son fourreau. Ma bouche et mes fesses étaient devenues le fourreau de cet instrument de jouissance et j’en étais ravi. Et il avançait en moi, agrandissant encore ma grotte du plaisir au passage et chaque millimètre pris m’envoyai de profondes vagues de plaisir, des vagues qui devenaient de plus en plus fortes au fur et à mesure qu’il progressait dans sa conquête de mon corps, corps qu’il avait d’ailleurs déjà conquis depuis un moment, en le marquant comme sien quand il avait répandu ses flots de spermes dans ma bouche et ma gorge. Son sexe était de plus en plus profond en moi, il voulait sûrement prendre son temps pour marquer ce ...
«1234»