Un amour de rêve, mais le réveil est brutal
Datte: 09/02/2018,
Catégories:
fhh,
Oral
pénétratio,
fsodo,
journal,
confession,
entrecoup,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... devrais pas écrire cela mais maintenant un homme seul me semble bien fade. Bien sûr le sexe n’est pas tout, mon amour pour Paul ne faiblit pas. Nous ne sommes pas partis en vacances. Le travail l’a accaparé et heureusement il m’associe très souvent aux moments de détente qui suivent les négociations. Ses interlocuteurs apprécient que je parle arabe avec eux. Ils me considèrent presque comme une des leurs. C’est un autre monde.
15 septembre
Un choc, une révolution, c’est ce que j’ai ressenti il y a seulement une heure.
Lorsque je suis arrivée à notre rendez-vous, Paul semblait effondré. Bien sûr, je le questionne et c’est seulement après avoir fortement insisté qu’il m’explique.
— Tu sais, Le Cheik… avec qui nous sommes en négociation, un énorme contrat, eh bien, il ne veut plus signer ! Plus exactement, il pose une condition que je ne peux pas accepter. Six mois de travail perdus. Le salaud.
Bien sûr j’interroge, je demande des détails. Il semble mal à l’aise. J’insiste, je me fâche, je lui dis qu’il ne me fait pas confiance, etc. Enfin il parle.
— C’est toi qui l’as voulu. Cette condition te concerne directement et je voulais te préserver. Voilà, la condition est : que tu passes une nuit avec lui. Je savais qu’il flashait sur toi, mais jamais je ne croyais qu’il irait jusque-là. C’est pour éviter ce genre de propositions que je te présente toujours comme ma femme. Avec lui, cela n’a pas marché.
— Eh bien, euh…
— Rassure-toi, il n’est pas question que nous ...
... acceptions. Tant pis pour l’argent.
Je réfléchis. J’hésite, mais comment ne pas proposer… Il y a des choses que l’on peut faire par amour. Alors, pourquoi ne pas…
— J’accepte, dis-je.
— Mais, chérie, tu ne peux pas…
— Ma décision est prise. Si tu es d’accord, j’accepte.
19 septembre
Voilà, tout est terminé. Le salaud, le salaud.
Comme convenu j’ai passé la nuit, enfin une grande partie, avec le Cheik. J’angoissais, mais finalement cela s’est bien passé. Il s’est comporté comme un homme bien élevé qui reçoit une maitresse. Non, le problème est ailleurs. Il était prévu que je rentre chez moi après ma « prestation » mais comme j’avais oublié mes clés et que je ne voulais pas déranger ma coloc, je suis repassé chez Paul. Là j’ai entendu une conversation entre lui et John.
En résumé. Paul disait :
— Le cheik est très content. Tu vois que j’avais raison et que j’ai bien fait d’investir. Ces gens-là ont toutes les filles qu’ils veulent, il leur suffit de sortir la Gold. Mais la femme d’un autre, c’est autre chose. Et Annie, pour eux, c’est ma femme. Baiser la femme d’un autre, c’est autrement plus bandant. Je suis sûr qu’il s’est éclaté. En plus, reconnais qu’Annie est un coup d’enfer. Elle a dû le faire grimper aux rideaux. Je, pardon, nous l’avons très bien dressée. Il faut dire que cette fille a des dispositions et qu’elle aime le cul. En plus elle a toujours un côté midinette, une fraicheur, une spontanéité que les autres remarquent. Avec les demandes que ...