1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1254)


    Datte: 29/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1253) -
    
    La nuit de Lucie :
    
    Un soir Messire Léon vint chercher Lucie, qui était occupée à récurer le plancher, elle était agenouillée et courbée en avant afin de frotter fort le sol
    
    - Lucie, vient ici chienne.
    
    Lucie, très docile, de suite lâcha tout et le rejoignit, tête baissée, il lui mit sa laisse et l’emmena en quadrupédie.
    
    - Tu auras ta récompense cette nuit.
    
    Messire Léon la conduisit dans une chambre équipée comme un petit donjon, se composant d’un grand lit rond, d’une croix de Saint-André, d’attaches diverses… Une fois arrivée, Lucie ouvrit des grands yeux et se dit en elle-même :
    
    - Ca fait 4 ans que je suis au service du Seigneur adoré et je n’ai jamais vu cette pièce.
    
    - Je sais ce que tu penses, que tu ne connais pas cette pièce… Vois-tu, cette pièce est réservée aux occasions particulières.
    
    - Elle est magnifique, dit Lucie ne pouvant s’empêcher de lever la tête pour admirer les lieux.
    
    - Oui c’est vrai ! Le Seigneur l’a fait tout équiper par les meilleurs ouvriers de Sa Seigneurie, bourreliers, charpentier, ferronnier … Et pour ce soir, qui est celui de ta récompense, je vais te faire une faveur … Lève-toi et regarde tant que tu veux, en attendant Messire Philippe et Messire Mathieu.
    
    - Merci Messire, répondit-elle en se levant avec de grands yeux admiratifs.
    
    Messire Léon, quant à lui, prit place dans un ...
    ... haut et confortable siège de bois garnit de doux coussins, placé près de l’âtre où brûlait d’énormes bûches. Soudain, on frappa à la porte, d’un geste Messire Léon fit signe à Lucie de se mettre à genoux, à côté de lui.
    
    - Entrer.
    
    Messires Mathieu et Philippe entrèrent.
    
    - Bonsoir commandant.
    
    - Bonsoir mes amis, voici la nuit où cette magnifique petite chienne va se donner à nous et fera tout pour nous donner entière satisfaction.
    
    Ce fut Messire Philippe qui sans un mot, commença d’amblée en empoignant Lucie par les cheveux et la forçant à se relever. Il la traîna pour aller l’attacher à la croix de Saint-André et lui banda les yeux. Lucie était déjà très excitée et cela s’amplifia quand il lui mit des pinces aux tétons. Puis tout s’enchaina, un premier coup de martinet lui frappa les jambes en remontant vers le haut. La soumise aimait cette sensation et sentait que celui qui maniait le martinet retenait sa force et ne frappait pas comme il le ferait pour une punition, mais de façon à lui procurer une légère, voire moyenne douleur dans le but de l’exciter par l’échauffement des sens. En même temps, elle sentit un olisbos (godemiché de l’époque), de belle taille, en bois sculpté en une belle forme d’un sexe en érection, se frotter doucement sur sa chatte déjà trempée d’excitation. La belle gémissait de plaisirs et souhaitait que cet olisbos la pénètre, alors elle se permit de dire :
    
    - Pitié Messire, j’ai envie…
    
    Lucie n’eut pas le temps de terminer sa phrase ...
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