Les Vacances en Afrique, La Suite
Datte: 28/10/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: byfrederic_le_dard, Source: Literotica
... bouche. Il ne lui donna pas satisfaction. Il préféra la coller à lui et remonter la gandoura en pétrissant ses fesses. Je le vis glisser sa main dans la raie et frotter vigoureusement de bas en haut. Je l'entendis lui dire "Mets toi à quatre pattes sur le tapis." Elle se prosterna, découvrant et relevant ses fesses. Elle offrait son cul, elle attendait la saillie. Abdou s'agenouilla derrière elle, recouvrit le derrière de ma femme avec sa gandoura, sembla guider son sexe au bon emplacement et s'enfonça en elle. L'un et l'autre eurent le même râle intense au moment de la pénétration. Cela exprimait une sorte de soulagement partagé une fois la jointure faite.
Abdou se mit alors à baiser ma femme en force. Elle releva son buste et s'appuya sur ses bras presque tendus. Abdou en profita pour glisser ses mains le long de la gandoura jusqu'à atteindre les seins. On devinait qu'il les pelotait vigoureusement. Ma femme plaça sa main droite entre ses cuisses. Je ne pouvais pas savoir si elle caressait les couilles d'Abdou ou sa chatte, peut-être les deux.
Il voulut changer de position et lui ordonna de s'allonger sur le dos en retroussant sa tunique au dessus de la poitrine. Il s'agenouilla entre ses cuisses qu'elle ouvrait largement et releva aussi son habit jusqu'à la taille. Il s'allongea sur elle, entrant sans peine au plus profond parce qu'elle creusait ses reins pour lui permettre d'aller plus loin dans son intimité.
Elle levait ses jambes et les refermait sur le dos ...
... d'Abdou. Lui allait et venait en elle, la tenant aux hanches. Son cul noir et musclé bougeait en saccades et on entendait un bruit composite, mélangeant le claquement des chairs qui se heurtaient à chaque coup de rein au son d'un pieu qu'on entre et qu'on sort d'un trou plein de sève qui se dilate au flux et se rétracte au reflux.
Elle força sur ses abdominaux pour décoller son buste du tapis et attraper les fesses de son amant à pleines mains, les poussant pour qu'il s'enfonce encore en elle. Elle tendait son visage vers le sien, cherchant le baiser. Elle le regardait avec une expression de souffrance, sourcils froncés, front plissé, bouche ouverte. Lui continuait imperturbablement sa besogne, sans accélérer ni ralentir. Il la ramonait méthodiquement, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus retarder son plaisir.
Si lui ne variait pas la cadence de ses va-et-vient, ma femme respirait de plus en plus vite, non pas parce qu'elle faisait des efforts mais parce que l'orgasme se rapprochait. Abdou en était certainement conscient et il poursuivait son travail de sape inlassablement. J'étais envieux de sa capacité à tenir aussi longtemps sans faiblir. "Je vais et je viens, entre tes reins." Cette chanson de Gainsbourg me vint à l'esprit, sauf que ce n'était pas moi qui allais et venais, c'était Abdou, infatigable, qui durait encore et encore, qui la prenait en force, qui poussait, tirait, plantait son dard, le ressortait, ma femme s'essoufflait, il s'engouffrait à nouveau, se relevait, ...