Albert va acheter un ventilateur et trouve mieux
Datte: 28/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Romainro, Source: Hds
... toilettes. Je les trouve enfin, il y a 3 cabines à porte et 5 urinoirs en métal avec une toute petite barre métallique comme séparation. Evidement je m’installe devant celui du milieu, je porte un short en tissu qui est maintenu que par un cordon que je desserre et je sors ma bite et mes couilles pour pisser tranquillement. Mon urine continue de s’écraser sur le métal quand la porte s’ouvre, l’homme du café s’installe à deux urinoirs à ma gauche, quand je tourne la tête vers lui il me fait un sourire et un signe de tête que je retourne. Je prends mon temps pour finir, je recule même un peu pour m’exhiber, je fais sortir les dernières gouttes de mon méat en me masturbant. Le mec ne tourne même pas la tête vers moi alors je remballe le tout en me disant qu’encore une fois je me suis fait de fausses idées et je vais au lavabo me laver les mains.
Je ne peux m’empêcher de l’observer dans le miroir même s’il n’est que de dos, il a un beau cul en plus, je le vois faire des mouvements, même si mon esprit pervers imagine plein de chose il doit seulement s’égoutter mais je continue de me laver les mains pour l’observer encore un peu.
Quand je le vois se retourner, sa queue est toute droite et légèrement courbée vers la gauche, soit il est circoncis soit il est déjà décalotté en tout cas ça commence à gonfler dans mon slip. Je me dépêche de me sécher les mains, je me retourne vers lui et tout en fixant son sexe qui est légèrement plus petit et plus fin que le miens mais quand ...
... même très appétissant, je passe ma langue sur mes lèvres. Je me dirige vers la cabine du milieu sans fermer la porte, je baisse mon short et mon slip, je m’assoies et je commence à me masturber.
L’homme me rejoint presque aussi tôt, il ferme le loquet de la cabine et baisse son bermuda, il ne porte rien en dessous. Tout en se mettant à genoux il me dit s’appeler Pierre, j’ai tout juste le temps de lui répondre que je suis Albert qu’il a déjà sa langue sur mes couilles. Il me les lèche lentement, les gobe l’une après l’autre alors que je continue de me branler. Sa langue remonte sur ma bite, je retire ma main pour lui laisser le champs libre, il l’a remonte lentement le long de ma chair gonflée au maximum, il s’attarde sur mon frein, il le lape, l’aspire et même le mordille, j’adore ça.
Quand sa langue arrive sur mon gland il commence par lécher le liquide qui coule de mon méat puis avale entièrement ma queue alors que ses mains explore mes testicules. Il fait coulisser mon sexe entre ses lèvres en variant les pressions et le rythme, ses doigts descendent jusqu’à ma rosette et me la massent. J’adore ce qu’il me fait mais si ses doigts m’excitent trop je vais rapidement jouir alors je le fais se lever, ma bouche est exactement en face de sa bite.
C’est parfait c’est exactement ce dont j’avais envie, je fais passer ma langue sur son gland, puis je joue avec son prépuce, je pose une main sur ses couilles et avec l’autre je me branle en même temps. Quand je commence à avaler ...