Les folies d'une caissière
Datte: 28/10/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
couleurs,
Collègues / Travail
hotel,
miroir,
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
hsodo,
journal,
Auteur: Lentai91, Source: Revebebe
... en train de le sodomiser ! Je ne savais plus où me mettre, à part derrière un carton peut-être ; c’est ce que j’ai fait.
Khadija et Joël prenaient leur pied. Joël n’avait pas besoin de bouger ; le chef faisait de grands va-et-vient dans le sexe de Khadija, donc la pénétration entre les hommes se faisait simultanément. Apparemment, ça faisait un moment qu’ils étaient en pleine action, vu la transpiration sur leurs corps. Joël attrapa le chef, donna des coups de reins saccadés et, dans un hurlement de plaisir, jouit dans le postérieur de son supérieur. Il lâcha toutes ses réserves de sperme, jusqu’à la dernière pulsation de son sexe, puis il se retira. Le chef continua encore quelques minutes, regardant les seins de l’Africaine bouger au rythme de ses coups de reins, avant de déverser son jus sur la grosse paire de seins de la caissière. Quel spectacle ! Eux qui ne pouvaient pas s’entendre… J’en avais la culotte trempée !
Je suis partie en vitesse sans qu’on me voie et, le soir même, j’ai eu droit au résumé.
Puis il y a eu un dernier amant… le meilleur, pour moi. Vous allez rire, mais c’était le Père Noël !
En cette fin d’année, un intérimaire était venu jouer le Père Noël. Pendant les pauses j’avais eu quelques occasions de discuter avec lui ; le courant était passé tout de suite, mais je suis restée pas mal de temps sans voir son visage. Tout ce que je savais, c’est qu’il avait de très beaux yeux verts. Au cours d’une discussion, j’ai eu le malheur de lui dire ...
... que j’avais un costume de lutin ; il voulait le voir. Il m’a proposée un dîner chez lui la veille de Noël, et j’ai accepté avec grand plaisir.
À 19 heures pile, il m’a ouvert la porte. Et là, coup de foudre ! Mon cœur s’est mis à battre à toute vitesse : c’était mon prince charmant. Je ne me faisais cependant pas trop d’illusions. Il venait de sortir de la douche ; l’eau coulait encore sur son corps mince et musclé. Quant à moi, j’étais en face de lui, portant une tenue de lutin : bottes vertes, bas rayés vert et rouge, robe très courte et chapeau de même couleur que le bas.
Il me regarda de haut en bas ; la bosse que je distinguais à travers sa serviette suivit le chemin inverse de son regard. Il n’y eut pas de repas, car il m’a proposé de le rejoindre dans la chambre pendant qu’il se préparait. Le temps d’arriver, il me plaqua contre le mur et m’embrassa. Quelle férocité ! Il ne tarda pas à porter sa main à mon entrejambe, qui était déjà bien trempé, bien sûr. Il tira sur ma culotte pour pouvoir jouer avec mes lèvres et mon clito tout en m’embrassant. J’étais à sa merci et ça me plaisait. Il me mit un doigt, puis deux, tout en caressant l’un de mes seins pendant de longues minutes. Quand j’ai voulu moi aussi toucher son sexe, il ne m’en a pas laissé le temps : m’ayant mise face au mur, il laissa tomber la serviette, enfila une capote et me pénétra d’un grand coup sec. Je ne pus retenir mes cris. Il allait vite et fort, sans baisser la cadence. Je me cambrais comme je ...