1. Voyage en Corse (3)


    Datte: 27/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: hermes25111, Source: Xstory

    ... autre façon et fait des petits mouvements de bassin. Mon pénis, qui est maintenant bien éveillé, se trouve dans un environnement chaud, contre la vulve déjà mouillée de ma cousine. Elle continue ses va-et-vient, mon gland glisse contre ses lèvres. Elle s’arrête, se cambre. Je donne des coups de reins jusqu’à sentir cette douceur caractéristique autour de mon gland. Nous poussons simultanément un soupir. Je commence un mouvement de bassin, c’est agréable, mais la pénétration n’est pas super profonde. Sylvie dégage.
    
    — Attends, mets-toi sur le dos.
    
    Je m’exécute, elle m’enjambe. Elle pose sa vulve sur ma queue pleine de mouille et la fait coulisser. Elle m’embrasse. Elle soulève son bassin, redresse mon sexe dressé avec sa main, et s’empale sur moi, le plus profond possible.
    
    — C’est mieux... C’est tellement bon... Laisse-toi faire.
    
    Elle commence à dompter mon pieu, en se caressant les seins. J’admire le spectacle : ma cousine, cambrée, chevauchant mon sexe et se caressant la poitrine. Les sensations qu’elle me procure sont énormes. Elle dirige tout, joue avec mon gland, teste les sensations. Je ne tiens pas longtemps, elle le sent. Elle est essoufflée elle aussi, elle est prise d’un orgasme et se cambre un maximum. A cet instant, j’éjacule, dans un grand râle. A nouveau, mon sexe palpite dans le sien.
    
    Elle s’effondre sur moi et me serre dans ses bras :
    
    — Ces vacances vont être merveilleuses, mon cousin. Je suis heureuse de te connaître.
    
    Je lui réponds ...
    ... en l’embrassant avec fougue. Après quelques minutes, nous séparons nos corps. Sylvie file prendre une douche, je reste allongé sur le lit, avec un sourire béat.
    
    Nous avons visité Bonifacio durant toute la journée. Sylvie et moi gardions nos distances, malgré quelques regards complices. Alors que nous pensions être passés inaperçus, et alors que chacun vaque à ses occupations dans le bungalow, Sylvie m’interpelle en chuchotant :
    
    — Elza se doute de quelque chose !
    
    — Ah bon ? Comment ça ?
    
    — Elle m’a d’abord demandé pourquoi nous échangions des regards coquins. J’ai nié. Elle a ensuite ajouté qu’en allant dans le salon suite à une insomnie cette nuit, elle avait entendu des gémissements à travers la porte de notre chambre. Je n’ai rien répondu et je suis parti.
    
    — Mince...
    
    — Personne ne doit savoir !
    
    — Je vais lui parler. Sais-tu où elle se trouve en ce moment ?
    
    — Je l’ai vue partir en direction de la piscine.
    
    Je m’enferme dans la chambre, enfile mon maillot, prends ma serviette, et m’en vais vers la piscine. Il n’y a personne, seule Elza fait des longueurs. Je l’interpelle :
    
    — Eh bien ! Je pensais qu’elle était gelée hier. Elle a chauffé ?
    
    — Non, j’ai besoin de me refroidir justement.
    
    — Tu as chaud ? Attends, je te rejoins.
    
    Je plonge dans l’eau glacée, et arrive à sa hauteur.
    
    — Oui, j’ai chaud intérieurement. Cette nuit, j’ai découvert que mon cousin se tape ma sœur, sa cousine. J’étais choquée. Comment pouvez-vous faire une chose ...