1. Mon fils, cet étalon. (10)


    Datte: 27/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... plantureuse black de vingt ans sa cadette et qu’elle venait souvent à la piscine. Lui était un peu rustre, mais était un bon gros nounours bien équipé selon sa femme. Il la faisait grimper aux rideaux, mais là, elle est partie à Dakar en vacances dans sa famille. Il était seul, le pauvre, me dit-elle en me faisant un clin d’œil.
    
    — Alors, il n’est pas servi mon pastis ? On laisse deux charmantes donzelles seules deux minutes et ça déblatère sur votre dos.
    
    — Mais non, on parlait de ta charmante épouse.
    
    Son regard s’embrume. Il a l’air d’un chien battu. Il se ressert seul, oubliant nos verres et c’est tant mieux. Coralie lui ébouriffe le peu de cheveux et lui dépose un bisou à la commissure des lèvres.
    
    — Allez, bois un coup, mon vieux Roger. On est là nous.
    
    Sa langue, celle de Coco, s’aventure sur le coup pleine de sueur de Roger qui ne dit rien, il ne bouge plus et me fixe. Coco revient près de sa boche et sa langue force les lèvres de notre ami. Il ferme les yeux et s’enfonce dans son fauteuil. Elle insiste, il cède. Ce n’est pas un baiser tendre, mais un patin bien baveux qu’ils s’échangent. Coco prend le verre de Roger et le pose sur la table et tombe son paréo. Elle prend une main de ce vieux cochon et la pose sur sa poitrine. Il rouvre les yeux, il est en admiration devant les mamelles de ma copine. On peut voir son sexe se durcir sous son pantalon de toile bleue. Une main baladeuse de Coco se dirige vers la braguette à boutons et les fait sauter l’un ...
    ... après l’autre. Sa main s’infiltre par l’ouverture et dit :
    
    — Tu n’as pas de slip ? Vieux vicelard...
    
    — J’en mets jamais quand je travaille.
    
    Elle se penche et renifle la bite du petit vieux. Elle doit sentir fort, mais cela ne la dérange pas. Elle passe sa langue sur le prépuce puis sur le méat. Roger souffle.
    
    — Ma femme adore quand ça pue, c’est une fieffée salope.
    
    — Je sais, elle me raconte tout.
    
    Elle descend vers les couilles recouvertes de poil blanc et lui en gobe une.
    
    — Déshabille-toi que je te respire.
    
    Roger se met nu et me regarde avec envie. Il me demande de me caresser, ce que j’étais en train de faire, mais sous mon paréo. Je l’ôte. Il a un regard carnassier sur mes seins et ma minette fraîchement épilée. Je ne sais pas comment j’ai fait, mais je me retrouve assise sur la table, jambes écartées, en train de me toucher le bouton. Je regarde mon amante sucer avidement le gentil vieux dégueulasse. Instinctivement, automatiquement, je la rejoins. L’odeur d’urine, de sueur et de fromage caillé me monte aux narines. Je gobe ce gland puant et me délecte de cette odeur... Enivrante. On est deux à se partager cette queue peu ragoutante, mais on y met tout notre cœur. Roger se raidit et dans un beuglement sans nom, il éjacule entre nos deux bouches. On récupère sa semence juste son torse poilu.
    
    — Vous êtes de sacrées salopes...
    
    — Et vous, un sacré vieux vicelard... lui répondis-je.
    
    Coco m’embrasse, partageant les effluves de cette bite. Roger se ...