COLLECTION LESBIENNES. La servante (3/5)
Datte: 27/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Quand j’ai pris mon service dans cette famille parisienne de haut rang, Véronique la fille de la maison a voulu jouer les pétasses.
J’ai commencé par la mâter avant d’en faire ma petite maîtresse.
J’avais appris de ma prof de français à devenir une gentille petite gouine et j’ai transmis mon savoir à cette jeune fille douée pour les jeux du sexe entre filles.
Un grain de sable vient gripper notre mécanique bien huilée, sa mère s'est mise en tête de la marier à un garçon qui se dit amoureux.
La trentaine, beau gosse au moins il lui fera de beaux enfants, mais con comme un manche à balai.
Elle veut le repousser, je la persuade que si elle suit mon plan, nous pourrons rester unis.
Il lui suffisait d’attendre que sa mère se dévoile dans ses intentions pour jouer notre carte.
- Corinne, c’est fait, vient dans mes bras, mère m’a parlé et je l’ai rembarré.
Elle n’a pas été contente, j’ai bien vu que de me savoir baronne était son but principal.
- Embrasse-moi, je sais comme les choses se sont passées, tu as été parfaite, tu pourrais être comédienne.
- Tu étais là ?
- Très prêt, c’est l’apanage d’une bonne servante, de tout voir et de tout entendre pour devancer les envies de ses patrons et vivre une vie tranquille et harmonieuse.
- Comment je fais pour passer à la deuxième phase de notre plan et que j’accepte ce mariage qui m’emmerde ?
- Laisse-moi faire, je vais précipiter les choses, mais je t’interdis de prononcer des mots orduriers ...
... dans ta jolie bouche.
Tu mérites une fessée.
Nous sommes nues dans ma chambre, c’est une phase de notre amour qui a démarré il y a peu, la fessée.
C’est par un jeu que ça a commencé, ce jeu ayant dégénéré et je la prends fréquemment sur mes genoux pour lui rougir les fesses.
Un bon 69 pour me faire pardonner les claques vigoureuses qui affermissent ses fesses.
C’est le lendemain que je passe à la phase permettant à Véronique de devenir baronne dans le respect de notre amour.
- Madame Olive, puis-je vous importunez.
- Oui Corinne, vous êtes si discrète tout le temps et vous êtes si précieuse pour ma fille.
Depuis que je vous ai engagé et que vous aidez ma fille dans ses études, elle est devenue une perle à un détail près.
- Je sais de quoi il s’agit, je me permets de vous le dire, même si cela doit me coûter mon travail.
Je suis toujours très franche madame.
- Alors que me voulez-vous ?
- J’ai entendu votre conversation avec votre fille et le refus de repousser ce brave garçon qui pourtant serait un très beau parti pour elle.
- Je vous pardonne d’avoir écouté, mais il est vrai que je serais enchantée que ma fille devienne baronne.
- Je vais vous aider à la faire changer d’avis.
Ce soir, nous devons travailler ses mathématiques pour son bac blanc.
Demain ressayez, si j’arrive à lui faire entendre l’intérêt qu’elle aurait à épouser son baron, vous aurez atteint votre but.
- Merci Corinne, si vous y arrivez je vous en serais ...