1. Quinze jours chez mon oncle


    Datte: 26/10/2018, Catégories: Hardcore, Inceste / Tabou Partouze / Groupe Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    « La dernière fois que je t’ai vue, tu devais avoir douze ans.
    
    Ce sont les premiers mots que mon oncle Julien m’a dit en m’accueillant à la gare. Lui et sa compagne Lucie avaient accepté de m’héberger pendant la durée d’un stage que j’allais faire dans le cadre de mes études.
    
    C’était le frère de mon père, mais tous deux s’étaient querellés il y avait des années. Mon père m’avait cependant suggéré de le contacter, puisque Julien vivait dans la ville où je devais séjourner pendant deux semaines.
    
    Je me souvenais vaguement de lui. Je ne l’aurais pas reconnu. C’est lui qui m’a identifiée sur le quai de la gare, dans la foule, car je ressemble beaucoup à ma mère.
    
    Il était 14 heures et il faisait un temps radieux.
    
    On a pris sa voiture et nous avons discuté de choses et d’autres, de la vie. Un tas de banalités sur le trajet qui dura une vingtaine de minutes.
    
    Julien avait divorcé quatre ans auparavant, puis il avait rencontré Lucie. Quant à moi, j’avais un copain depuis quelques mois. Rien de bien sérieux, mais un copain attitré néanmoins.
    
    Lucie n’était pas là quand on est arrivé. Julien m’informa qu’elle serait de retour en fin de journée. Tous deux vivaient dans une maison de plain-pied, ravissante. Une chambre m’était dédiée, qui donnait sur le jardin situé à l’arrière. Depuis la fenêtre, on voyait un grand parterre de pelouse et des arbres qui l’encerclaient.
    
    J’ai ouvert ma valise et me suis mise à sortir des vêtements que j’ai rangés dans l’armoire, puis ...
    ... Julien m’a rejoint.
    
    « Veux-tu boire quelque chose ? »
    
    « Pas tout de suite, ai-je dit. »
    
    Il suivit mes gestes pendant quelques instants, puis il ajouta :
    
    « Il faut que je te demande quelque chose. »
    
    Je l’ai regardé et, lisant de l’étonnement dans mes yeux, il s’est assis au bord du lit dans lequel j’allais dormir pendant quinze jours.
    
    « Avec Lucie, on s’est demandé si… Comment dire… Est-ce que tu fais toujours du naturisme ? »
    
    J’ai hoché la tête et répondu :
    
    « Oui, toujours. »
    
    « Ah, tant mieux, dit Julien. Avec Lucie, on se demandait. Et je n’ai pas osé te poser la question quand tu as téléphoné. C’est une bonne nouvelle. »
    
    J’ai rangé un tas de t-shirts dans l’armoire, puis je suis venue m’asseoir au bord du lit à mon tour, à gauche de mon oncle.
    
    Il a continué :
    
    « Je te pose la question, car Lucie et moi, on a l’habitude de se promener tout nus dans la maison et dans le jardin. Et toi ? »
    
    « Chez mes parents, je me balade toute nue, ai-je dit, mais pas chez mon copain. Ce n’est pas du tout son truc. D’ailleurs, j’appréhende un peu le mois de juillet, car il aimerait qu’on aille au bord de l’océan, mais il tient à ce que je porte des maillots sur la plage. Il ne supporte pas l’idée que d’autres hommes puissent voir mon corps. »
    
    « C’est ennuyeux, dit Julien. Quoi qu’il en soit, je suis soulagé, et Lucie va l’être aussi. »
    
    Je lui ai souri. Moi aussi je m’étais posée la question avant de prendre le train. Dans le doute, j’avais emporté ...
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